Non, tu n’es pas dans un chemin de non-retour. Il y a toujours une solution à chaque problème. Chaque problème est fait pour avoir des issues ou des solutions. Donc, ne te dis pas dit que tu es dans un chemin de non-retour. Non, c’est totalement faux. Que fais-tu donc ici si tu es dans une telle situation. Je crois que tu crois qu’il y a un détournement de situation. Si tu ne croyais pas ce que tu n’es pas ici. Au fond de toi, tu sais qu’il y a encore un peu d’espoir. Un espoir qui peut te permettre d’avoir ce que tu veux le plus actuellement. Donc, ne te décourage pas.

Tu as eu de la chance. Tu avais le soutien de ta famille. Moi je ne vais pas te mentir, c’était seulement le soutien de mon mari que j’avais. Je ne vais pas dire que la famille m’a tourné le dos, mais ils n’étaient pas là. Ils ont commencé à venir lorsque la tempête est passée. J’étais vraiment choquée. C’est pourquoi je te dis que tu as beaucoup de chance. Il ne faut pas gâter cette chance. Plusieurs cherchent, mais ils ne trouvent. Toi tu l’as déjà. Ils t’ont montré avec ou sans enfant, ils vont toujours t’aimer. Ils seront toujours là. Par contre dans le mien, ce n’est pas comme ça que c’est. C’est totalement autre chose que je vis. Donc,  malgré tes peines, il faut te réjouir.

Ce n’était pas facile du tout. Je ne vais pas te mentir. J’ai dû remue ciel et terre pour pouvoir trouver la solution. Ce n’était facile, comme je te dis. Je suis allée dans les endroits que je ne pouvais jamais imaginer aller un jour. Mais moi, je suis allée dans ces endroits. C’étaient des expériences affreuses. Il y a certains que je ne veux pas me rappeler. Mais que faire, je ne pas les supprimés de na tête. Même si je les supprime, je ne peux pas formater mon cerveau. Ceci n’est pas possible, et ça ne sera jamais possible. Je vis avec ces souvenirs douloureux, mais la joie d’avoir mon enfant me console énormément.

C’est vrai, c’est maintenant que je te comprends. Au départ, je ne te comprenais pas. Mais maintenant je te comprends. Ce qui est bien est que tu n’es pas la seule. Tu as moi, je suis là. Je suis prête à t’aider. Moi aussi j’étais dans de tel problème. Certes, ce n’est pas similaire, mais j’étais dans les problèmes de stérilité. J’avais des lourds et des gros problèmes de stérilité. Ça ne fait pas longtemps que j’ai pu m’en sortir. Je dois t’avouer que ce n’était pas facile du temps. J’ai pensais a plusieurs à abandonner. Je pensais déjà à l’adoption, mais le désir d’avoir un enfant était plus que moi. A chaque fois que je pensais à ça, je ne pouvais pas laisser tomber.

C’est vraiment douloureux de vivre dans de telle condition. C’est souvent mieux que parfois les résultats font semblant. Deux années qu’échec, ce n’est pas facile à vivre. Ce sont les choses très difficile à vivre. Surtout lorsqu’on est seul. Heureusement tu n’étais pas seule. Tu avais ta famille à tes cotés. Ce n’est pas tout le monde qui a cette même chance. Moi je considère ça comme chance, parce que c’est effectivement ça qui s’est produit pour toi, malgré les échecs. Tu n’as jamais été seule.