toutes mes sinceres condoleances pour ton papa ce n'est pas facile de perdre quelqu'un qui nous est proche, j'ai perdu mon beau frére en janvier 2007; on habitais la meme maison, ça m'a fait un grand vide dans la vie, à chaque fois que je prpare un plat qu'il adorait, je pleure, je pleurais tt le temps, plus que mon mari ( son frere), mais aprés à chaque fois quil vient dans ma memoire, je demande dieu de l'acceillir dans son vaste paradis, soit forte ma soeur, ton mari et tes enfants son tjrs là, et la vie continue, et chacun son tour............. tel est la volonté de dieu et on peut pas dire non à dieu, c à lui qu'on appartient. *واستعينوا بالصبر و الصلاة * و انها لكبيرة إلا على الخاشعين* صدق الله العظيم

mes condoleances ma belle ce soit etre dur de perdre un parent

j'ai perdu mon ex il y a 6 mois, j'ai beaucoup beaucoup pleuré et apres l'enterrement la boule que j'avais ds le ventre avait disparu! tu sais je pense a lui chaque jours et j'arrive a ne plus pleurer a regarder des photos, chaqun fait son deuil a sa maniere l'essentiel c'est qu'il soit dans ton coeur

courage

mes condoléances, perdre est une épreuve de la vie qui est si difficile, si tu as la foi , tu te dis que ce n'est qu'un aurevoir mais sans foi que ce dire. 

Pour des personnes que j'ai aimé, la souffrance de leur non présence est souvent difficiles à vivre mais la vie continue, ton papa n'aimerait pas te voir souffrir pour lui

je vais te faire mon témoignage , j'espère qu'il te consolera : j'avais quinze ans quand ma mamie (qui était comme ma mère) est morte dans des douleurs horribles, je l'ai vu la veille de sa mort et j'ai mise des années à m'en remettre , j'ai aussi sombrer à 15 ans dans une dépression et je lui avais dit quand j'ai été chez elle , (elle était allongée dans son cercueil) que je ne l'oublierai jamais , mais ma souffrance en pensant à elle, n'était que douleur (je la voyais le dernier jour ou je l'avais vu)

A 19 ans, je vivais seule et je venais juste de me mettre au lit, j'ai vu ma mamie en face de moi , beaucoup plus jeune , et si belle , elle me parla (elle avait un accent italien) elle me dit qu'il fallait arreter de souffrir pour elle , car celà n'avait pas lieu d'etre, qu'elle était heureuse là ou elle était, qu'on se reverra quand je partirai de ce monde. Elle avait recu l'autorisation de Dieu  de venir me voir mais qu'une seule fois (pour ceux qui ne croivent pas , excusez moi mais je dis ce qu'elle m'a dit) " et je me suis mise des claques , croyez moi"

on a encore un peu parlé et elle est partie , disparu en un instant , évaporé mais depuis la paix s'est installée dans mon coeur et je n'ai plus jamais souffert (comme si en s'évaporant , elle avait enlevé ma douleur)

J'espère juste que mon témoignage t'apportera un peu de paix

Bonjour Nono, Dur le décès de nos parents lorsqu'ils survient, j'ai toujours pensé que les parents étaient éternels, jusqu'à il y a 13 ans où mon père à 85 ans a agonisé pendant un mois avant de s'éteindre. L'image qui me reste de lui : un homme amaigri, qui me regardai pour m'exprimer des choses qu'il ne pouvait pas dire (je ne peux pas oublier son regard bleu ) et dont la tension baissait lorsque j'étais là (il était plus serein). Et les pleurs sur le parking de l'hopital où je restai un moment dans ma voiture pour me calmer. Un soir alors que je sortais du travail pour passer chez mon frère pour lui demander un téléphone sonnant fort, je prends l'appareil et rentre à la maison. Tout à coup alors que j'avais encore de téléphone dans les mains que je souhaitais branché dans la chambre, le téléphone sonne : "l'hopital F... Annie la surveillante ... votre Papa s'est éteint, il était 19 h 00... il n'a pas souffert ..." Je ne pleure pas, j'invite mon mari à m'accompagner voir mon frère et sa famille pour leur annoncer, puis nous décidons de rendre visite à Maman restée chez elle ce jour-là...... Nous téléphonons à tout le reste de la famille et partons tous (Maman, mon frère, mon mari et moi à l'hopital pour apporter les vêtements que Papa portera dans son cercueil". Les deux jours suivants j'ai pu accompagner mes frères et soeur pour l'adieu à Papa, mais le jour des funérailles a été pour moi un déchirement, j'ai compris ce jour que Papa ne sera plus présent ... Depuis ce temps, Maman s'est cloitrée chez elle, puis nous avons du la mettre en maison de retraite (elle n'a plus toutes ses facultés)  et les fêtes de Noël et de fin d'année ne seront plus jamais des fêtes même si les enfants et petits enfants attendent avec impatience l'occasion de faire la fête ! Notre Maman est maintenant dans un état végétatif à 88 ans et demeure toujours à la maison de retraite qui jouxte mon domicile ... nous attendons un peu chaque jour son départ, nous nous y préparons ... mais j'ai beaucoup de travail à faire pour accepter cet état de fait ! Bon courage Nono et à bientôt !

Bonjour Nono3,

Toutes mes condolèances. J'ai perdu mes parents (52 et 56 ans). Et j''ai perdu mon fils à l'age de 18 ans 1/2, il y aura 7 ans le 10 décembre, et c'est très dur pour moi.