Forum minceur › Régimes et méthodes alternatives

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posté par deby69 le 02-07-2007 à 18:36

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connaissez vous la methode zermati?

voila, bonjours les filles, après avoir tenter des centaines de regimes...bon d'accord j'exagere, une vingtene de regimes je peux vous dire que je suis tombée sur la perle rare,"LA METHODE ZERMATI" elle est simple et difficile a appliquer, je vous expose le principe en une phrase "manger quand on a faim, et s'arreter lorsqu'on est rassasier," oui mais, savons nous a l'heure d'ojourd'hui lorsqu'on a plus faim s'arrêter de manger? je crois que notre mauvaise abitude de finir notre assiette nous a suivi trop longtemps, le principe fait peur si je vous dit qu'il n'y a plus d'aliments interdit? pourtant il est veridicte, tomberiez vous des nus, si je vous dit que manger du chocolat autant que vous le souhaiter etait permis?et bien non les filles, beaucoup d'entre nous ont esseyer cette methode il n'en est pas une qui en a été deçu, pourkoi? parce que notre corps nous reclame lorsqu'il a faim, c'est normal me direz vous, oui mais nous , nous ne l'écoutons pas, nous faisons regime sur regime, et finalement on y gagne quoi,sinon des kilos et des kilos en plus après une rechute, vous savez ce qui est le plus désolant, c'est que lorsqu'on vous tend une tablette de chocolat, vous la prenez entiere, alors que si vous n'étiez pas une mangeuse restrainte et bien cela n'arriverais pas, au finale, culpabilité.

non non et non, pour celles qui veulent me suivre alors je les accueil a coeur joie, et j'exposerais les grand principe dans un premier temps puis dans un deuxieme temps, les erreu



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posté par deby69 le 03-07-2007 à 08:18

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Les espoirs de progrès dans ce domaine viendront sans doute de la pharmacologie. Ce que nous devons déplorer c'est la situation de nombreuses personnes possédant naturellement un set-point très élevé et devant subir un véritable acharnement à les faire maigrir alors que cela leur est impossible du fait qu'elles se trouvent précisément à leur set-point.

posté par deby69 le 03-07-2007 à 08:16

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système très rudimentaire qui ne sait pas faire la différence entre du foie gras et des radis.

3 - Le choix des aliments.
De la même façon que les apports alimentaires sont régulés sur le plan quantitatif, ils le seront également, là encore grâce aux sensations alimentaires, sur le plan qualitatif. À ce titre, certaines expériences menées sur les animaux sont tout à fait édifiantes.
Si l'on soumet des rats à un régime carencé en protéines, spontanément, par la suite, quand ils auront le choix, ils se dirigeront vers des aliments leur apportant des protéines. La même expérience peut être répétée en infligeant des carences beaucoup plus spécifiques en un acide aminé, une vitamine ou un sel minéral. L'animal prend du plaisir et trouve bon les aliments qui lui apportent le nutriment qui lui fait défaut. Chose importante, son goût pour cet aliment persistera bien au-delà de la réparation de cette carence. On a ainsi créé durablement une préférence alimentaire. Il a même été possible, grâce à des protocoles de conditionnement, de transformer des aversions en préférences. Par exemple, les animaux détestent tous l'eau acide et préfèrent naturellement l'eau pure. Après consommation d'un régime carencé en zinc, ils finissent tous par préférer l'eau acide si celle-ci leur apporte le zinc qui leur manque. De la même manière, chez l'homme qui présente une insuffisance surrénale, on constate une attirance étonnante pour la réglisse.

posté par deby69 le 03-07-2007 à 08:16

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Ce produit contient des substances qui corrigent les troubles dont souffrent ces personnes. Celles-ci ressentent alors un grand plaisir à consommer des aliments pour lesquels elles pouvaient n'avoir jusqu'alors qu'indifférence. Soudainement, la réglisse deviendra pour eux un aliment recherché et qui aura " bon goût ". De même, au cours d'un régime hypoglucidique, pouvons-nous décider de nous priver pendant plusieurs semaines de manger des féculents. Si soudainement on nous présente un délicieux plat de pâtes, à sa simple vue nous éprouverons un plaisir intense. Et nous en consommerons aussi longtemps que ce plaisir sera ressenti. Par ce message, le cerveau nous fait savoir que notre organisme est en état de manque et que nous devons reconstituer les stocks de glucides épuisés.
À l'opposé, il est aussi possible d'inverser une préférence si la consommation de l'aliment n'apporte plus ce que l'on en attend. Ainsi, chez les animaux, le goût inné pour le sucré ne se maintient que s'il correspond à un apport d'énergie. En remplaçant le sucre par de la saccharine, on assiste progressivement à une extinction du goût pour le sucré. L'animal finit par se désintéresser de ce type d'aliments s'il apprend qu'il ne lui permet plus de satisfaire ses besoins.

posté par deby69 le 03-07-2007 à 08:16

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- Le set-point
Grâce à ces systèmes, l'individu devient capable de manger selon ses besoins et de se maintenir sans effort à un poids génétiquement déterminé. Chacun concevra facilement que la taille des êtres humains soit soumise à de grandes variations sans que cela ne soit, le moins du monde, considéré comme une anomalie. Il existe des grands et des petits, les tailles généralement observées pouvant se situer entre 150 cm et 220 cm. Tout au plus pourrait-on parler de moyenne, en aucun cas de normalité. Idéalement, les médecins pensent que la corpulence d'une personne (IMC) devrait se situer entre 20 et 25. Cet intervalle ne correspond en rien à un poids normal. Il est simplement considéré comme l'intervalle de poids dans lequel l'individu serait statistiquement le moins exposé à des complications médicales. Ce qui, d'ailleurs, ne présente en rien une garantie de santé pour un individu donné. Pas plus qu'on ne soit certain d'avoir un accident en dépassant la vitesse autorisée ou que l'on en soit totalement à l'abri en la respectant. Certaines personnes naturellement maigres peuvent se situer très au-dessous de cet intervalle et posséder un IMC aux environs de 15 à 17. Celles-là se considéreront sans doute comme des chanceuses qui posséderont la même corpulence que celle des mannequins et feront, peut-être un jour, la couverture des magazines de mode. Alors que d'autres se situeront naturellement entre 28 et 30 et seront harcelées autant par l'environnement social que par

posté par deby69 le 03-07-2007 à 08:15

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2 - La taille des repas.
La faim nous dit simplement qu'il est temps de manger mais ne nous renseigne pas sur les quantités de nourriture dont nous avons besoin. Pour cela, nous disposons de systèmes très élaborés qui travaillent à notre insu. Ils informent notre organisme du nombre de calories que nous absorbons et nous font parvenir des signaux de rassasiement qui mettront fin à notre repas quand nos besoins seront couverts. Le premier système est sensoriel. Il nous informe, dès la reconnaissance de l'aliment par l'appareil gustatif, de sa composition en nutriments et micro-nutriments. Chaque aliment est ainsi analysé et mémorisé dans le cerveau comme dans une table de composition des aliments qui serait en permanence remise à jour. C'est par la décroissance du plaisir gustatif que le cerveau nous fait savoir les quantités de nourriture qui nous sont nécessaires. Tant qu'il y a du plaisir gustatif, il faut continuer à remplir les réservoirs. Quand le plaisir gustatif a disparu, les réservoirs sont pleins, il faut s'arrêter. Aller au-delà de l'extinction du plaisir gustatif, c'est manger plus que ses besoins et, par conséquent, s'exposer à prendre du poids. C'est donc la modulation du plaisir qui guidera l'individu dans l'ajustement des quantités qui lui sont nécessaires. Le second système est mécanique et dépend de la contenance de l'estomac. L'estomac est une poche dont chacun comprendra qu'elle ne peut contenir plus que son volume. Mais il s'agit là d'un système très ru

posté par deby69 le 03-07-2007 à 08:14

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Ce sont elles seules qui le guideront dans le choix de ses aliments et la détermination de leur quantité.
La satisfaction quantitative et qualitative des besoins est conditionnée par trois mécanismes s'appuyant sur les sensations alimentaires.

posté par deby69 le 03-07-2007 à 08:14

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1 - La fréquence des repas.
Cette dernière est fonction de l'alternance de la faim et de la satiété. La faim apparaît quand les cellules du cerveau commencent à manquer de glucose. Elle se manifeste quand les aliments du repas précédent finissent d'être digérés et signale la nécessité de satisfaire un besoin global de nutriments énergétiques. La faim pousse le mangeur à se procurer de la nourriture et à manger jusqu'à disparition de sa faim. Il atteint alors l'état de non-faim ou satiété.
Toutefois, la vie en société impose ses horaires et n'incite pas le mangeur à s'isoler pour prendre ses repas. Aussi très rapidement, le mangeur apprendra à régler la taille de ses repas pour avoir faim à des heures socialement acceptables. Il saura, avec une assez bonne précision et par un apprentissage inconscient, quelle quantité de nourriture il lui faut prendre à chaque repas pour ne pas avoir faim jusqu'au repas suivant. C'est donc par un apprentissage progressif que les mangeurs d'un même groupe social apprennent à avoir faim à la même heure.

posté par deby69 le 03-07-2007 à 08:13

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— Un réseau de transmission utilisant les voies nerveuses ou hormonales et qui transportent l'information depuis les capteurs jusqu'au cerveau.
— Enfin un centre de recueil des informations qui recevra à la fois les données biochimiques recueillies dans tous l'organisme mais qui se trouve aussi connecté à d'autres zones du cerveau et notamment aux aires de la pensée et des émotions.
C'est tout cet ensemble qui forme ainsi un réseau d'une extrême précision et se charge de réguler inconsciemment la prise de nourriture, tant sur le plan quantitatif que qualitatif. C'est lui qui permettra au cerveau de savoir à chaque instant de quels nutriments le corps a besoin et en quelles quantités. Et ainsi de maintenir le poids de la personne autour d'une valeur d'équilibre et de satisfaire ses besoins dans les différents nutriments qui lui sont nécessaires. Cependant l'individu n'a naturellement pas accès aux concentrations de ces différents neuromédiateurs et n'a donc pas directement connaissance des indications qu'ils apportent. Il lui faut pour cela disposer d'une interface qui s'adressera à lui dans un langage compréhensible. Un peu comme l'interface graphique d'un ordinateur qui permet à l'utilisateur de déchiffrer les calculs de son microprocesseur. Et c'est ainsi que cette immense complexité se révèlera au mangeur sous une forme d'une rare simplicité exprimée par ses sensations alimentaires : la faim, les appétits, le rassasiement, la satiété. Ce sont elles seules qui le guider

posté par deby69 le 03-07-2007 à 08:12

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– Les apports alimentaires sont régulés par l'organisme
Toutes les expériences similaires, très nombreuses à ce jour, démontrent, sans plus aucune contestation possible, que les apports alimentaires sont régulés de manière extrêmement fine pour s'adapter à la dépense énergétique de l'individu. Un individu dont l'organisme dépenserait quotidiennement en moyenne 2 500 calories et qui chaque jour en consommerait 25 de plus, soit une erreur de 1 %, verrait son poids augmenter de 9 kg en 10 ans. On peut donc penser que les personnes dont le poids est stable sur d'aussi longues périodes sont capables d'ajuster leur consommation d'aliments sans même commettre cette erreur de 1 %.
Les animaux, les jeunes enfants et sans doute beaucoup d'adultes se comportent comme de bons régulateurs et " savent " faire une juste estimation de leurs besoins. Toutefois, les études ont montré que cette compétence pouvait facilement disparaître chez les personnes exagérément attentives à leur poids ou chez les enfants ayants des parents eux-mêmes trop préoccupés de ne pas grossir.

posté par deby69 le 03-07-2007 à 08:12

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B - Les sensations alimentaires.
Pour parvenir à ajuster sa consommation d'aliments à sa dépense énergétique, l'individu ne dispose de rien d'autre que de ses sensations alimentaires. Ces dernières résultent elles-mêmes des différents systèmes de régulation présents dans l'organisme et font intervenir des neuromédiateurs tels que la leptine, la sérotonine, le CPK, le NPY... habituellement impliqués dans la gestion de l'état énergétique de l'organisme. On a longtemps pensé que le comportement alimentaire était sous l'influence d'une glande située dans le cerveau, l'hypothalamus, qui commandait un centre de la faim et un centre de la satiété. On sait aujourd'hui que les sensations alimentaires résultent de processus infiniment plus complexes comprenant schématiquement trois niveaux.
— Un réseau de capteur comprenant des millions de récepteurs répartis dans tout l'organisme et qui recueillent en permanence des informations sur le moindre changement se produisant dans la composition du milieu intérieur.

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