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AUTEUR | Message |
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posté par lamiss069 le 01-03-2009 à 23:58 |
Question sur le paranormal explication des rêve c'est par iciBonjour, Je me présente : Je m'appele Auriane, j'ai 19ans. Je vous propose de vous aider à comprendre vos rêves et à vous expliquer certaines choses sur le paranormal. Ma spécialité : L'Au delà. Dans ma famille, c'est une "spécialité" qui se transmet de mère en fille. Nous sommes capable de resecentir la présence des entités, de communiquer avec elles par le biais de moyens de transcommunication, d'interprêter les rêves, et d'autres choses. J'ai beigné dans ce domaine toute mon enfance et c'est à partir de l'adolescence que j'ai eu la chance d'être "coachée" par mon arrière grand-mère sur le sujet. Je ne suis pas capable de faire tout ça, pour l'instant, j'arrive à capter la présence d'esprit à certains moments et dans certains endroits, je peux aussi interprêter des rêves, et couper le feu, pour le reste, on verras, j'ai encore beuaucoup de choses à apprendre avant d'être autorisée et capable de supporter le contact avec l'au delà. Bref........ Beaucoup de personnes ne croient pas en ces choses et je comprends tout à fait ; pourquoi croire en quelque chose que l'on ne voit pas......Je suis ici simplement pour vous aider à y voir plus clair si vous avez une questions en particulier, une anecdote inexplicable ou quelques chose dans le genre........Je présice que je ne suis ni voyante, ni médium. J'ai un "don" que j'apprends à maîtriser grâce au savoir de ma grand-mère. |
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Portrait de Karin, une des témoinsdu documentaire « Enlevés »Avant la prochaine conférence deStéphane Allix consacrée à ce film
2010-06-11 ARTICLE
Karin est une jeune femme athlétique de trente-cinq ans aux cheveux coupés courts. Ses premiers souvenirs conscients de rencontres remontent à l’âge de vingt-six ans, alors qu’elle venait de s’installer en Floride avec son ami. À l’époque, elle travaillait comme serveuse, ne s’intéressait pas le moins du monde à ce genre de sujet, et vivait une existence tranquille. Puis, sans raison apparente, elle se mit à se réveiller le matin avec l’impression d’avoir fait des rêves étranges. Quelque chose en eux était différent de ses rêves habituels. Une vraie angoisse s’installe au fur et à mesure que les semaines passent, et que ses sensations gagnent en intensité. Les images de plus en plus précises, qui lui reviennent de ses rêves, ne font qu’accentuer sa détresse. Il y a ces lumières, des visages horribles… Elle suspecte que son corps est manipulé, mais le matin, lorsqu’elle s’inspecte en détail, elle se demande si elle n’est pas en train de devenir folle. Comment cela pourrait-il être possible ? Son compagnon, compréhensif au début, se sent de plus en plus désemparé alors que les mois passent, et que rien ne change. Au contraire, tout empire pour Karin. C’est pourtant une jeune fille qui a les pieds sur terre, mais elle comprend de moins en moins ce qui lui arrive. Ça se produit maintenant plusieurs fois par semaine. Mais le plus insoutenable est sans conteste de ne pas savoir ce qui se passe, d’être seule, et déchirée, entre cette certitude de plus en plus évidente qu’il lui arrive quelque chose de réel, et celle de savoir de tout son être que ce n’est pourtant pas possible ! d’autres expérienceurs, elle n’a plus envie d’aborder ce sujet, de raconter, raconter encore ces… expériences. Mais je ne suis pas là pour écrire un de ces articles à sensation qui n’avancent à rien. Je suis là parce que je veux comprendre. Je suis là pour écouter . Et peu à peu, ce premier soir puis les jours suivants, elle réalise qu’elle peut me faire confiance. Je bous d’en apprendre davantage. Karin est une jeune femme débordante d’énergie. Ça tombe bien car j’ai des milliers de questions à lui poser. À chacun de ses moments libres, je suis là, je l’écoute, je la questionne, je la regarde. J’essaye de sentir ce que représentent pour elle les expériences qu’elle évoque. Qu’a-t-elle vu ? instant précis où quelque chose s’était produit qui avait conduit à ce qu’il n’y ait plus aucun doute dans son esprit sur la réalité de ce qui lui arrivait. Qu’est ce qui s’était passé ? Elle qui croyait devenir folle, déchirée par ses rêves trop intenses pour n’être que des rêves… à nouveau dans la bibliothèque, lorsqu’elle accepte de revenir sur cette partie de sa vie. La clarté d’une lampe de lecture me permet de distinguer son visage. D’un geste lent, elle passe sa main à plat sous son œil rougi, puis sur sa joue, effaçant une larme du bout des doigts. Il n’est pas loin de deux heures du matin. La pièce est exiguë mais chaleureuse, meublée de canapés, de fauteuils et d’une table basse. Karin est installée face à moi, les jambes repliées, tournant le dos à la rue, les épaules nues. L’émotion dans la pièce est à couper au couteau. ce n’était pas le cas ! Quelque chose m’arrivait qui n’était pas censé être possible, et ça me rendait vraiment cinglée. La situation était tellement absurde ! Absurde et si difficile à vivre… Ça durait depuis des mois ; des mois atroces, puis il y a eu cette nuit-là… Street malgré l’heure tardive. Silencieuse nuit d’automne. Le feuillage des arbres est immobile. Le vent s’est tu. Malgré l’obscurité, les façades des maisons environnantes se dessinent au-dehors, à demi voilées derrière les fenêtres. Je me souviens d’être allée me coucher tôt ce soir-là, j’étais tellement fatiguée. Le haut de notre lit était fait de lattes de bois verticales. Derrière ma tête, il y avait un morceau de bois puis un espace, un morceau de bois, un espace… et les espaces vides, comparant l’écart avec celui séparant son pouce de son index. Ses gestes sont précis , mais une gêne manifeste se dégage de son corps à mesure que les détails lui reviennent en mémoire. Elle redresse le menton, et pose une nouvelle fois ses yeux sur moi. Je sens bien qu’elle n’éprouve aucun plaisir, aucune envie de revenir sur cet épisode. Elle aurait préféré me parler de musique, de ses projets, de n’importe quoi d’autre. Pas de ça ! Pas de cette manière. le haut du crâne… J’ai d’abord pensé que c’était une des lattes de bois, que je devais être trop près de la tête de lit, alors je me suis enfoncée. Mais ça a continué : quelque chose me touchait ! Pourtant mon lit était placé de telle manière qu’il n’y avait pas de place derrière ! Rien ne pouvait passer derrière mon lit, il n’y a pas assez d’espace pour en faire le tour… elle se tord les mains. du lit, je voulais hurler, réveiller mon ami mais j’étais incapable de bouger, comme si une chape de plomb m’écrasait… comme… crrrr ! figurant le poids invisible qui l’écrase. - Une couverture de ténèbres m’enveloppe et je perds connaissance une fraction de seconde, puis, presque instantanément, je suis à nouveau consciente. Je ne sais pas, peut-être que ça a duré deux minutes. Je ne sais pas. Je sens alors un courant électrique parcourir mon corps, c’est si intense que je ne peux plus faire un geste. Mes bras sont droits le long de mon corps, je ne peux pas même ouvrir ma bouche… e ne pas pouvoir faire un geste… je suis paralysée et j e ne comprends rien à ce qui est en train de se passer… je suis paralysée ! Je ne comprends rien… et cette électricité dans mon corps… de toute son énergie à mesure qu’elle me raconte son expérience. L’intensité de l’émotion qu’elle revît me stupéfie. Elle se mouche, ses yeux sont rouges et gonflés. Par moments, sa voix est une plainte ; je sens l’impuissance, la terreur qui est en train de la submerger à nouveau. Exactement comme si un animal venait de bondir sur ma couette. Juste un pas, volontaire. Je n’ai aucun animal à la maison ! Et mon ami est allongé immobile à côté de moi… je sais que quelque chose ne va vraiment pas ! Oh mon Dieu… il est en train de se passer quelque chose de vraiment fou ! Puis il y a une autre pression ! Je sens un second pas !… de l’autre côté de mes pieds… mes jambes sont droites , mes bras collés le long du corps, je suis toute droite, paralysée… et encore un nouveau pas, puis un autre… je suis impuissante, je ne peux pas bouger et je sens ce truc marcher sur le lit ! Juste un pas, puis un autre, puis encore un autre, lentement, doucement. À chacun, je sens la pression, la couette qui s’enfonce ; un poids contre mes jambes. Je sais que je suis réveillée, parfaitement réveillée ! Je peux le sentir, je suis dans mon lit, je ne suis pas ailleurs, je suis dans mon corps. Je suis réveillée mais incapable d’ouvrir les yeux. Je n’arrête pas de penser, et j’ai toutes ces sensations… et je suis terrorisée ! Jamais je n’ai eu ça dans les expériences antérieures. Ils étaient toujours à côté de mon lit, j’étais emportée autre part, et puis… c’était toujours très flou, confus, je n’étais pas dans le même état de conscience ; mais là ! Mais là c’est clair, totalement clair ! Je sais qu’il est en train de m’arriver quelque chose. Je ne rêve pas. Et je le sens avancer l entement sur le lit, pas après pas. Ça semble léger, et vraiment maigre, comme si ça bougeait… en ligne droite, doucement, posant un pied puis attendant avant de faire le pas suivant. S’assurant à chaque instant que je ne vais pas bouger … attentif à sa sécurité… il faisait une pause. Comme s’il attendait de voir que je n’allais pas me mettre à bouger. C’était étrange, je savais ce qu’il faisait. Un pas, puis un autre, prudemment… ça n’était pas comme un chat ou un chien, vous savez, ils sautent, non là c’était un peu comme lorsque vous avancez vers un animal dont vous ne voulez pas qu’il s’échappe. Vous voyez ? Ça avançait de la même manière… et puis ça s’est arrêté. Mon cœur était au bord d’exploser. , j’ai réalisé qu’il était à cheval sur moi ! Puis le poids s’est relâché sur ma gauche, il a soulevé sa jambe, doucement, et comme au ralenti, je l’ai senti la poser sur ma poitrine ! Je sentais le poids de ce truc s’enfoncer sur ma poitrine… Et là, et là… c’est l’horreur … elle ramène ses bras contre elle, pleure, ses mots sont hachés. Je ne comprends rien de ce qui se passe, il n’y a personne pour m’aider, il n’y a jamais personne pour m’aider ! Même si mon ami dort à côté de moi, il ne se réveille jamais ! Il est paralysé ! Et je suis incapable de hurler, je ne peux pas même bouger la mâchoire, pas un son ne sort de ma bouche… et je suis tellemen t en état de choc avec ce truc sur ma poitrine… devant elle. Je n’ose l’interrompre. Attentif, à l’écoute, je suis bouleversé par l’émotion qui la saisit, comme si elle replongeait des années en arrière, lorsque tout a basculé dans sa vie, à l’origine du traumatisme. J’ai presque le sentiment que lorsqu’elle reprend, il émane d’elle la même terrible résignation que cette nuit-là. - C’est alors qu’il pose une main contre ma tête ! Je sens quelque chose enfoncer l’oreiller à droite de ma tête ! … puis il y a une autre pression à gauche. Je vais vomir … je veux perdre connaissance… je veux n’importe quoi plutôt qu’être réveillée, les yeux fermés, paralysée par ces vibrations. Je veux disparaître… C’est atroce, c’est impossible ! Je suis terrorisée, je perds tout contrôle, comment pourrais-je croire à ce qui m’arrive ? Ma respiration est hystérique ; expiration, inspiration, expiration… et alors là, j’ai cette pensée complètement stupide ; parce que je sens que ce truc est tout près de moi, je me mets à penser : « oh mon Dieu, mais je dois avoir mauvaise haleine ! » Je suis face à ce truc et je pense à mon haleine… c’est tellement stupide ! À la seconde, instantanément, c’est comme si je recevais quelque chose dans ma tête, une pensée qu’il me renvoie et qui dit : « ça n’a aucune conséquence. » Il me dit que ça n’est pas grave ! Ça n’a pas d’importance que ma respiration sente mauvais. En un éclair tout change, la terreur disparaît et je suis envahie par un grand calme. Mon corps se détend. Il le sent, alors j’entends cette pensée, à nouveau directement à l’intérieur de ma tête : « bien ! » et puis : « maintenant, tu peux ouvrir les yeux. » Alors doucement, je réalise que j’arrive à ouvrir les paupières… il y a toujours cette électricité qui me parcourt le corps, je suis paralysée , je ne peux pas bouger, mais j’ouvre les yeux et … j’aperçois cette chose à quelques centimètres de mon visage. Je distingue bien sa peau, c’est comme du cuir… je ne sais pas… drôle de texture. Lisse, gris sombre. Et ces yeux, immenses, comme de l’encre, comme si je pouvais enfoncer mes doigts dedans. Des yeux allongés autour de sa tête, très pointus. Le cou a l’air segmenté… je ne sais pas… il est tout fin, et je peux voir son corps, il est maigre, petit. C’est une petite chose, et ses bras… ses bras, de chaque côté, paraissent segmentés comme le cou. Je regarde ce truc et je ne peux pas croire qu’il soit si près de mon visage. Ses yeux ! Je n’arrive pas à croire ce que je vois ! Cette chose, ces yeux… C’est impossible… je sais que je ne rêve pas ! Les traits tirés par la fatigue, c’est épuisée qu’elle poursuit. mais ce qui m’est arrivé était réel. Chacune des cellules de mon corps vibrait, c’était aussi réel que notre discussion maintenant. C’était réel parce que mon corps était physiquement impliqué… la plus traumatisante de cette expérience a été d’être arrachée à la réalité ; la sensation d’être arrachée à soi-même. l’enquête, Albin Michel, 2006 |
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Les phénomènes dits paranormaux sont de plus en plus étudiés par les spécialistes des neurosciences dans le monde entier. Le point sur ces travaux de recherche pas comme les autres, réalisés dans le but de faire progresser la connaissance mais aussi la médecine.Qui n'a jamais éprouvé un sentiment de déjà-vu ou de déjà-vécu face à une situation pourtant nouvelle ? Qui n'a jamais eu un pressentiment, une prémonition ou une expérience de transmission de pensée ? Depuis la nuit des temps sont rapportés des récits à la fois troublants de similitude et de cohérence et incroyables d'irrationalité. Certains s'étonnent de reconnaître des lieux qu'ils n'ont pourtant jamais visités. D'autres affirment communiquer avec leurs proches décédés. D'autres, enfin, racontent être sortis de leur corps, s'être approchés du seuil de l'au-delà pour revenir ensuite dans le monde des vivants. Et combien témoignent d'étranges flashs de clairvoyance... S'agit-il de croyances, d'hallucinations ou d'une autre réalité encore inexpliquée. Ces expériences dites extraordinaires, longtemps niées, sinon rejetées par la science, font aujourd'hui l'objet d'études approfondies, voire d'enseignements dans des universités et des centres de recherche parmi les plus illustres. Ainsi, la Parapsychological Association, regroupement de scientifiques et d'universitaires qui étudient les phénomènes de télépathie ou de psychokinésie, a-t-elle été admise au sein de la très sérieuse American Association for the Advancement of Science (AAAS) ; une division des études perceptuelles a été créée à l'Université de Virginie, aux Etats-Unis ; un centre pour l'étude des processus psychologiques anormaux s'est ouvert à l'université de Northampton, en Grande-Bretagne (qui compte déjà huit établissements universitaires intégrant des disciplines parapsychologiques) ; sans oublier le Centre de recherche sur la conscience et la psychologie anormale à l'université de Lund, en Suède, ou le département de psychologie et parapsychologie de l'université d'Andhra, en Inde... En France, depuis peu, l'université catholique de Lyon propose à ses étudiants une unité de valeur facultative intitulée « Sciences, société et phénomènes dits paranormaux ». Par ailleurs, des scientifiques, assez audacieux pour affronter l'esprit critique de leurs pairs, tentent de comprendre ces étranges événements. Armés des outils de l'imagerie cérébrale, ils explorent le cerveau, expérimentent sans a priori, prêts tout aussi bien à admettre que le phénomène est lié à un simple dérèglement neuronal qu'à reconnaître l'existence d'un sixième sens, pour autant que la démonstration en soit faite de manière cartésienne. C'est le cas du Canadien Mario Beauregard, chercheur en neurosciences, qui installe des écrans vidéo dans une unité coronarienne d'un hôpital de Montréal pour étudier le phénomène des expériences de mort imminente (EMI). C'est aussi celui du neurologue suisse Olaf Blanke, qui décortique le sentiment de décorporation tout en reconnaissant que de nombreuses zones d'ombre restent à élucider... Des recherches qui ont pour but de mieux comprendre l'origine et les mécanismes de la conscience. Et de répondre enfin à ces questions : l'homme n'est-il que matière ? Le corps est-il une enveloppe charnelle indépendante de l'âme ? Ou l'esprit humain obéit-il, en certaines circonstances, à des formes dont nous ignorons encore tout ? |
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TU NOTES CECI ...dans mes rêves mais elle est toujours très méchante avec moi, est ce que en tant que vivante elle etait aussi ??? |
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Ma Maman est décédée depuis 3 ans, elle avait 83 ans. Nous étions très proches. Depuis son départ, elle est souvent dans mes rêves mais elle est toujours très méchante avec moi, elle ne semble plus m'aimer. Le matin, je me réveille très tourmentée. Elle me manque toujours autant, chaque minute elle est dans mes pensées et ma souffrance est profonde. |
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Je sais que mon fils est vivantDirecteur artistique, Christophe a perdu l’un de ses deux fils, mort à 16 ans dans un accident. Les signes étranges survenus alors ont bouleversé son esprit rationnel, mais ses proches ne l’ont pas compris. « Trois jours après la mort d’Antoine, j’ai aperçu une petite boule lumineuse qui brillait au-dessus de mon lit. Je suis plutôt rationnel et, à l’époque, je cultivais ce que l’on pourrait appeler un “matérialisme indifférent” : Dieu, l’au-delà, la communication avec les morts et les phénomènes de ce genre me semblaient inconcevables. Mon fils était mort, point final. Ce matin-là, j’ai quand même vérifié les rideaux, la fenêtre… J’étais trop effondré pour m’étonner, m’inquiéter ou même réfléchir. Je me suis rendormi. Le premier choc dans mes convictions est survenu trois mois plus tard. Toujours aussi malheureux, ma femme et moi étions dans la chambre d’Antoine quand j’ai reçu deux coups derrière la tête. J’ai regardé derrière moi en disant : “On m’a frappé !” “C’est peut-être Antoine”, a lancé Marianne. “Peut-être”, ai-je répondu, et on en est resté là. Croyante, quoique non pratiquante, Marianne lisait des livres sur l’après-vie, et je commençais probablement, inconsciemment, à accepter cette idée : elle adoucissait ma peine et avait le mérite d’apporter une explication – d’autant plus envisageable que ce geste “collait” avec la personnalité très “directe” d’Antoine. Peu de temps après, Marianne m’a entraîné chez un médium. J’ai accepté d’y aller, par curiosité : peut-être cela me ferait-il du bien – j’allais tellement mal ! Mais j’étais très sceptique, pour ne pas dire critique. À tel point que je n’ai pas fait le rapprochement avec ce qui m’était arrivé quand, dès le début de la séance, le médium s’est penché en avant en disant qu’il venait de recevoir deux claques derrière la tête et qu’Antoine lui signifiait par là qu’il avait été tué sur le coup. Pour nous, ce fut d’abord un immense soulagement, car nous n’avions pas été autorisés à voir son corps et imaginions les pires scénarios. Ensuite, sans nous connaître, avec seulement la photo d’Antoine, le médium nous a dépeint sa personnalité, ses comportements, ses relations avec nous. “Talent de morphopsychologue ?” me suis-je demandé. Possible, mais comment expliquer qu’il décrive ensuite avec précision notre maison, ou l’absence de relation entre Antoine et ses grands-parents, ou encore un cadeau acheté pour sa petite amie qu’il nous enjoignait, selon le médium, de remettre à la jeune fille ? J’étais à la fois impressionné, étonné, rassuré, soulagé. Consolé ? Non, on ne se remet jamais de la perte d’un enfant. Mais ma conception de la mort commençait à être sérieusement chamboulée, d’autant que les manifestations ont continué : bruits de pas, de portes qui claquent, objets qui disparaissent ou apparaissent, petits signes dont on peut toujours se dire qu’ils sont le fruit du hasard, mais qui finissaient par s’accumuler ! Cette “présence” me faisait du bien, mais cela n’empêchait pas les rechutes dans la souffrance, le retour des doutes, qui persisteront certainement toujours. J’ai alors essayé d’enquêter, de comprendre. Ces messages incompréhensibles sur mon téléphone portable, par exemple, pouvais-je en remonter la piste ? Peine perdue : selon mon fournisseur, ils n’avaient “aucune provenance”. Cette absence d’explication technique me donnait le droit d’adhérer à l’idée d’un clin d’oeil de mon fils, et cette idée me faisait plaisir, j’en étais parfaitement conscient. Je regrette cependant que certains amis auxquels nous nous sommes alors confiés en soient restés à des remarques un peu condescendantes, du genre : “Si ça vous fait du bien, on est contents pour vous.” Refusant de considérer les possibilités que l’expérience ouvrait, ils ont d’abord tenté d’en réfuter la réalité. Puis, apprenant que nous allions voir des médiums et participions à des conférences, ils ont cherché à nous en dissuader, au nom du risque sectaire. Je sentais aussi que mon psychiatre ne souhaitait pas s’étendre sur ce terrain. Pourtant, et je le dois en grande partie aux personnes rencontrées à l’Inrees, même si je souffre, je sais que je ne suis pas fou. Je gère le quotidien aussi rationnellement qu’avant. Ma vie a changé, bien sûr : les petits soucis me paraissent aujourd’hui sans importance, et la réussite sociale sans intérêt. Je prêche pour davantage de tolérance, moins d’égoïsme et, sans pouvoir dire que je crois en un Dieu, je me suis ouvert à une spiritualité qui m’est propre. Je sais, pour l’avoir ressenti, que mon fils est “vivant”. Il m’arrive de penser que tous ces événements n’avaient pas d’autre but : me faire évoluer. » |
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Communication avec les défunts, sorties de corps, télépathie… Pas simple, pour ceux qui vivent ces phénomènes, d’oser la confidence sans craindre d’être pris pour des fous. Un groupe de psychologues propose de les écouter sans les juger. Il y a vingt ans, après une chute accidentelle, je me suis soudain retrouvé hors de mon corps, observant depuis le plafond les gens qui s’affairaient autour de moi. Ensuite, ma vie a défilé devant mes yeux, j’ai eu l’impression d’entrer dans un tunnel sombre, débouchant sur une lumière bienfaisante… et j’ai réintégré mon corps ! » Il a fallu des années à Jérôme, 35 ans, cadre dans une grande organisation internationale, pour accepter de raconter ce qu’il appelle sa NDE (near death experience, « expérience de mort imminente »).
« Quand j’en ai discuté avec le médecin qui m’a réanimé, elle m’a dit que c’était le contrecoup du choc ou un délire provoqué par la production d’un cocktail anarchique d’hormones et de neurotransmetteurs qui se manifeste lors de certaines syncopes. J’ai eu beau rétorquer que cela n’expliquait pas comment j’avais pu la voir en train de me réanimer comme si j’étais un simple spectateur, ni comment je pouvais décrire cette scène en détail, elle n’a rien voulu entendre et m’a donné des tranquillisants. » Jérôme a donc préféré se taire – et garder pour lui les « sorties de corps intempestives » qu’il a vécues ensuite : « Au début, j’ai eu peur et j’ai tout fait pour les ignorer en me plongeant dans mes études, confie-t-il. Comme les crises revenaient environ une fois par an, je suis allé voir un psychiatre. J’ai eu le malheur de mentionner que j’avais l’impression, dans ces moments-là, de me “projeter” dans un objet proche – par exemple, un arbre –, et de pouvoir ressentir ce qu’il percevait. Le psychiatre m’a demandé si je me droguais ! Puis il m’a prescrit des anxiolytiques, tout en me prévenant contre un désir inconscient de toute-puissance, possible précurseur d’une dissociation de ma personnalité. Je suis sorti de là terrifié, me voyant déjà schizophrène à l’asile. » Depuis, la réussite de sa carrière a rassuré Jérôme sur sa santé mentale, mais il continue à redouter le retour de ses « crises ». L'étrange dérange Un manuel pour mieux comprendre
Association créée en 2007, l’Institut de recherche sur les expériences extraordinaires (Inrees) compte près de deux mille membres. Il a recueilli de nombreux témoignages et a reçu le soutien de thérapeutes d’avant-garde, tel Stanislav Grof, père de la psychologie transpersonnelle. Son ambition : créer un réseau de thérapeutes ouverts à ces sujets, voire organiser un cycle de formation. Il publie ce mois-ci un livre destiné aux thérapeutes comme à tous les curieux. Rassemblant les travaux de plusieurs spécialistes et passant en revue toutes les catégories de phénomènes, ce Manuel clinique des expériences extraordinaires (dirigé par Stéphane Allix et Paul Bernstein, Inrees-InterÉditions, à paraître le 21 octobre) présente les différentes interprétations possibles, les mécanismes psychologiques en jeu et leurs éventuels glissements pathologiques. Si ces expériences sont souvent douloureuses à vivre, c’est parce que, selon notre conception de la réalité, elles ne peuvent tout simplement pas exister. Il se produit alors, chez les témoins, ce que la psychologie appelle une « dissonance cognitive » : entre croire ce qu’ils ont vécu et croire la science qui affirme que c’est impossible, que choisir ? Le dilemme peut être si fort qu’il provoque chez certains une perte de repères que John E. Mack, professeur de psychiatrie à l’école de médecine de l’université Harvard, aux États-Unis, qualifiait de « choc ontologique » – antichambre de la vraie folie. Pourtant, « les expériences extraordinaires arrivent plus fréquemment qu’on le croit, estime Patrick Clervoy, auteur des Psys en intervention (Doin, 2009), chef du service psychiatrie de l’hôpital d’instruction des armées Sainte- Anne, à Toulon. Mais, comme les chocs traumatiques, elles laissent aux gens l’impression qu’ils ne pourront jamais en communiquer la force et la teneur, qu’il faut les avoir vécues pour comprendre . Or, elles demandent, comme les chocs traumatiques, à être intégrées psychiquement, via un récit ». Encore faut-il que quelqu’un écoute ! Mais plus l’expérience est étrange, plus elle dérange nos esprits cartésiens, et moins l’écoute est au rendez-vous. Au malaise qu’elle provoque, s’ajoute alors la douleur de ne pouvoir être entendu. Créé il y a deux ans, l’Institut de recherche sur les expériences extraordinaires (Inrees) propose de pallier ce manque d’écoute. « Le débat entre ceux qui croient à ces phénomènes et ceux qui n’y croient pas est stérile, affi rme son fondateur, Stéphane Allix, ex-reporter de guerre, auteur de La mort n’est pas une terre étrangère (Albin Michel, 2009). Les preuves que les uns pensent apporter sont rejetées par les autres au nom des théories classiques en vigueur. Notre ambition est de fédérer des professionnels de santé, pour offrir à ceux qui vivent ces expériences un cadre leur permettant d’être écoutés dans leur dimension essentielle : la dimension humaine. » Car il ne s’agit pas de nier que ces phénomènes puissent être liés à des troubles psychiques bien réels. « C’est précisément pour cette raison qu’il faut écouter d’abord, sans idée préconçue », explique la psychologue et psychothérapeute Isabelle de Kochko, qui étudie, à l’Inrees, les phé no mènes de hantise et de possession. Si les « sorties de corps » de Jérôme ont été diagnostiquées comme présageant une possible schizophrénie, la communication avec un défunt peut facilement être confondue avec une psychose ou un deuil morbide, la possession avec une paranoïa ou un désordre de personnalités multiples – comme le rappelle le sociologue Paul Bernstein dans le premier chapitre du manuel de l’Inrees (encadré p. 98). Quant à la télépathie, la voyance ou la précognition, elles peuvent être prises pour des troubles bipolaires (les troubles bipolaires se traduisent par une oscillation perpétuelle entre un pôle dépressif et un pôle d’hyperexcitation). Une prise de distanceSeule une écoute attentive permet d’éviter ces diagnostics précipités, en observant la façon dont la personne relate son expérience : en présente-t-elle le souvenir avec l’émotion qui devrait lui être liée ? Cherche-t-elle à tout prix à convaincre ? Vit-elle son quotidien de façon sensée ? L’écoute sans jugement, l’ouverture d’esprit, la prise de distance face à nos a priori permettent au témoin de faire un lien entre son expérience et un éventuel trouble psychique, et d’en tirer un bénéfice personnel. « C’est un moment pathologique, pas une pathologie, souligne la psychologue et psychanalyste Djohar Si Ahmed, auteure de Comment penser le paranormal (L’Harmattan, 2006). Il peut se révéler constructif s’il est bien intégré, car il n’affecte pas la personnalité. » Ariane, ostéopathe de 26 ans, qui a des visions depuis son adolescence, le confirme. « Les premières fois, j’ai eu très peur, raconte-t-elle, mais quand j’ai vu les réactions de ma famille – silence, regards fuyants… –, j’ai compris que je ne pouvais en parler qu’à très peu de gens. » Plus tard, Ariane s’est découverte capable de percevoir les douleurs physiques d’autrui. « Mais ce n’est qu’aujourd’hui, diplôme en poche et plus sûre de moi, que je commence à explorer ce qui est peut-être un don de guérisseuse », déclare-t-elle. La rencontre de personnes ayant vécu des expériences semblables et de chercheurs apportant différents schémas d’explication la conforte dans cette voie. |
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bsr moi j ai juste une petite question voila il y a 1 an mon papa est décédé il vient dans mes rèves mais ne parle jamais que cela peut til signifiai? |
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salut Auriane comment vas-tu? je fais remonter mon space rêve si t'as le tps de l'interpréter, si ya qqch à interpréter, lol!! merci d'avance et bonne soirée Byz Mél' |
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On attend ça avec impatience Roseline!! Mercii d'avance!! |
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pendant 2 jours je vais faire de l initiation a la meditation et comme c est des boudhistes qui le pratique ,,je vais leurs poser la question au sujet des esprits qui ne se sont pas reincarner ,,,comment ca se passe ,,,,,,j apporterai leurs reponses ici ,,,,,,, en tout les cas merci lamiss069 pour ton aide ... |
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J'te remercie Sophiemarionalllix !! |
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Je viens pas sur ce site pour m'embrouiller surtout quand j'ai en face de moi une personne qui ne vaut pas la peine que je prenne de mon temps pour répondre à ses commentaire bidon...Donc voilà, on va faire les choses bien ; tu poste les commentaires que tu veux, tu raconte les histoire que tu veux, je n'y répondrais plus et en échange je te demande simplement de ne pas m'adresser de commentaire parce que ça m'énerve et je suis ici pour me détendre !! On se demande vraiment qui es la plus mature de nous deux ... |
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Je suis désolé si tu as mal pris ma petite remarque, c'est juste que des choses "bizarre" ou touchant ou domaine du paranormal (et plus précisément à l'au delà), ça n'arrive pas tous les jours!! Une personne aura la chance de vivre une aventure dans ce domaine là 1 à 2 fois maximum dans sa vie...Tu vois ou je veux en venir. Je ne traite personne de menteuse ou de débile, je dis simplement que ces choses là ça n'arrive pas souvent, c'est très rare. Aprés peut etre est ce qu'à trop vouloir du "surnaturel" tu n'en voit pas de partout alors qu'il n'y a pas lieu d'être...J'en sais rien du tout et je m'en fiche. Je suis là simplement pour répondre à des question sérieuses sur des problemes sérieux. Point barre. C'est un forum libre tu y raconte ce que tu veux. Je veux simplement que ce sujet soit pris avec tout le sérieux et le respect qu'il mérite... |
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Décidément, il t'arrive beaucoup de choses bizarre !! |
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Bonsoir Poulette45 !! D'après ton explication, je dirai que tu ne te sents pas à ta place dans ta vie de couple...Peut être que tu te sent mise de côté par ton mari ou plus en accord/harmonie avec lui je ne sais pas exactement... Je pense que tu as des doutes concernant ton couple. Tu est amoureuse de ton mari mais tu songe quelque fois (insconciamment ou non) à un petit à côté. Tu ne souhaite pas le quitter parce que tu y es sentimentalement trop attachée, mais un "amant" pourrai t'aider à y voir plus clair. C'est l'explication que j'aurai donné...A toi de voir si ça te parle ou pas! |
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Bonjour je suis déjà venue sur cette discution qui est sympa. J'ai fais un rêve cette nuit et sa m'a réveillé. Donc je te l'explique. J'ai rêve que j'étais dans un autre piéce que les autres il me semble que c'était la salle de bain. J'avais des invités chez moi mon conjoint était avec eux ainsi que mes enfants. Et que un garçon m'a rejoint dans cette piéce il voulait m'embrasser je l'ai repoussé en lui disant pas ici mon mari. Et il est parti. Voilà je sais que dans mon couple sa ne va pas très bien en ce moment mais je ne trompe pas mon conjoint mais hier soir j'étais toute triste pourquoi ? mystère je pense que sa veut dire quelque chose mais quoi. Si tu peux m'éclaire. Je te remercie beaucoup. |
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Alors là honnetement, non j'en ai aucune idée...Si ta prof. est belle et bien encore en vie, je ne sais pas quoi te dire...Les explications scientifiques c'est pas mon truc donc voilà lol désolé! |
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je te remercie de ta reponse et oui je respecte ma grand mere je n en est pas peur elle as tjr contribuer a me proteger, en ce moment je la sent moins presente mais je sais quand elle est la ,parfois je fais des chosses me diriger dans des lieux qu en faite ce n est pas mopi mais elle qui veux y allez ;alors je lui dit josephine ta envie d allez te promenez ,un jour j ai cracher sur la tombe de mon arriere grand pere et bien cela c etait elle car jamais je n aurais fais cela et je rzessent une haine pour cette homme quyi as banni sa fille et son petit fils ou fils on se pose la question ,j ecris un livre sur ma ma grand mere 'josephine ou la femme sans tombe' un jour une indoue ma dit que je n etait pas seul autour de moi je lui est dit que je savais qu il y avait ma grand mere elle ma dit pas qu elle et pas que des morts mais elle avait vue des anges . je vais en laissez des septique mais je vous jures sur mes fils mes petites fille et mon cheri que c est la verité. pour step je me permet de te repondre j ai perdu mon papa aussi rapidement il ma fallut plussieur année pour m en remetre et de parler de lui mais encore penible mais sache que le tien n aurais pas voulut te voir triste et sache qu il est pres de toi et qu il le seras tjr courage |
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Je pourrai pas te répondre là par contre. J'estime qu'à 19ans j'connais pas grand chose de la vie donc je préfère ne pas me prononcer sur ce coup! Par contre je sais que je cotoit pas mal de gens dans ta situation (ou similaire) et si il tu attends des réponses précises à des kestions précises un médium sera plus adapté à ton besoin. Par contre si tu te demande simplement si il est heureux là ou il est, je peux t'assurer sans nul doute que oui. Si tu as besoin de parler parce que tu es choquée par le départ rapide de ton pere effectivement un psy serai plus adapté...Je peux pas te dire...jsui désolée |
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"Jean-Michel Berille, le responsable des télé-conseillers." |
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Extraterrestres : l’enquête » Albin Michel, 2006
Présentation : La science est en pleine révolution. De l'astrophysique à la psychiatrie en passant par la neurologie et la physique quantique, elle révèle les limites de notre perception de la réalité. Chaque jour, de nouvelles découvertes viennent balayer certaines de nos certitudes. Intrigué par ces bouleversements, l'ancien reporter de guerre et journaliste d'investigation Stéphane Allix est allé à la rencontre de ceux qui affirment avoir vu des ovnis ou être en contact avec des "entités non-humaines". Il examine ici leurs récits à la lumière des changements qui secouent la recherche scientifique et commencent à affecter notre vision du monde. Il nous fait également découvrir les travaux de John E. Mack sur les récits de " rencontres extraterrestres ". Les analyses de ce professeur de psychiatrie de l'université de Harvard établissent clairement que la plupart des témoins ne souffrent d'aucune pathologie mentale mais que leurs expériences présentent, au contraire, les caractéristiques physiologiques de traumatismes réels. Résultat de trois années de recherches, cette enquête inédite et troublante nous confronte à un phénomène incontestable, et pourtant encore largement controversé.
« La mort n’est pas une terre étrangère » Albin Michel, 2009
Présentation : Stéphane Allix a brusquement changé de voie après un événement bouleversant : la mort de son frère en Afghanistan en avril 2001. Depuis, il explore les mystères de la conscience. Dans ce livre qui nous entraîne aux quatre coins du monde à la rencontre de médecins, chercheurs,
médiums, lamas tibétains ou de chamanes de la forêt amazonienne, il dresse le tableau des connaissances actuelles sur la mort pour aborder de façon originale et novatrice cette question éternelle : y a-t-il une vie après la vie ?
La posture de l'INREES face à l'extraordinaire
La posture de l’INREES se résume en ces mots : « autour de nous, à chaque instant, quantité d’événements se produisent que nous ne comprenons pas. Il peut s’agir d’expériences qualifiées de surnaturelles et rapportées en toute bonne foi par des témoins. Des phénomènes étranges, des entités qui apparaissent dans notre environnement, la vision à distance, le 6e sens, ou les expériences aux frontières de la mort en sont quelques exemples. La fréquence de ces expériences est telle qu’il n’est plus possible d’en nier la réalité au seul prétexte qu’elles sont jugées impossibles. D’abord parce que la science elle-même remet en question un grand nombre de ses fondements, et puis surtout parce que trop de témoignages indiscutables ont été collectés. »