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Bonjour,
Je me présente : Je m'appele Auriane, j'ai 19ans.
Je vous propose de vous aider à comprendre vos rêves et à vous expliquer certaines choses sur le paranormal.
Ma spécialité : L'Au delà.
Dans ma famille, c'est une "spécialité" qui se transmet de mère en fille. Nous sommes capable de resecentir la présence des entités, de communiquer avec elles par le biais de moyens de transcommunication, d'interprêter les rêves, et d'autres choses. J'ai beigné dans ce domaine toute mon enfance et c'est à partir de l'adolescence que j'ai eu la chance d'être "coachée" par mon arrière grand-mère sur le sujet. Je ne suis pas capable de faire tout ça, pour l'instant, j'arrive à capter la présence d'esprit à certains moments et dans certains endroits, je peux aussi interprêter des rêves, et couper le feu, pour le reste, on verras, j'ai encore beuaucoup de choses à apprendre avant d'être autorisée et capable de supporter le contact avec l'au delà. Bref........
Beaucoup de personnes ne croient pas en ces choses et je comprends tout à fait ; pourquoi croire en quelque chose que l'on ne voit pas......Je suis ici simplement pour vous aider à y voir plus clair si vous avez une questions en particulier, une anecdote inexplicable ou quelques chose dans le genre........Je présice que je ne suis ni voyante, ni médium. J'ai un "don" que j'apprends à maîtriser grâce au savoir de ma grand-mère.
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Karin est une jeune femme athlétique de trente-cinq
ans aux cheveux coupés courts. Ses premiers
souvenirs conscients de rencontres remontent à l’âge
de vingt-six ans, alors qu’elle venait de s’installer en
Floride avec son ami.
À l’époque, elle travaillait comme serveuse,
ne s’intéressait
pas le moins du monde à ce genre de sujet,
et vivait une existence tranquille. Puis, sans raison
apparente, elle se mit à se réveiller le matin avec
l’impression d’avoir fait des rêves étranges. Quelque chose
en eux était différent de ses rêves habituels. Une vraie
angoisse s’installe au fur et à mesure que les semaines
passent, et que ses sensations gagnent en intensité.
Les images de plus en plus précises, qui lui reviennent
de ses rêves, ne font qu’accentuer sa détresse.
Il y a ces lumières, des visages horribles… Elle suspecte
que son corps est manipulé, mais le matin, lorsqu’elle
s’inspecte en détail, elle se demande si elle n’est pas en train
de devenir folle. Comment cela pourrait-il être possible ?
Son compagnon, compréhensif au début, se sent
de plus en plus désemparé alors que les mois passent,
et que rien ne change. Au contraire, tout empire pour Karin.
C’est pourtant une jeune fille qui a les pieds sur terre, mais
elle comprend de moins en moins ce qui lui arrive.
Ça se produit maintenant plusieurs fois par semaine.
Mais le plus insoutenable est sans conteste de ne pas
savoir ce qui se passe, d’être seule, et déchirée, entre
cette certitude de plus en plus évidente qu’il lui arrive quelque
chose de réel, et celle de savoir de tout son être que ce
n’est pourtant pas possible !
Je l’ai sentie méfiante au début. Comme beaucoup
d’autres expérienceurs, elle n’a plus envie d’aborder
ce sujet, de raconter, raconter encore ces… expériences.
Mais je ne suis pas là pour écrire un de ces
articles à sensation qui n’avancent à rien. Je suis
là parce que je veux comprendre. Je suis là pour écouter
. Et peu à peu, ce premier soir puis les jours suivants,
elle réalise qu’elle peut me faire confiance. Je bous
d’en apprendre davantage. Karin est une jeune
femme débordante d’énergie. Ça tombe bien car
j’ai des milliers de questions à lui poser. À chacun de
ses moments libres, je suis là, je l’écoute, je la
questionne, je la regarde. J’essaye de sentir ce que
représentent pour elle les expériences qu’elle évoque.
Qu’a-t-elle vu ?
Je voulais l’entendre me raconter ce jour, cet
instant précis où quelque chose s’était produit qui
avait conduit à ce qu’il n’y ait plus aucun doute dans
son esprit sur la réalité de ce qui lui arrivait. Qu’est
ce qui s’était passé ? Elle qui croyait devenir folle,
déchirée par ses rêves trop intenses pour n’être que des rêves…
Nous sommes dans la maison de John Mack,
à nouveau dans la bibliothèque, lorsqu’elle accepte
de revenir sur cette partie de sa vie. La clarté d’une
lampe de lecture me permet de distinguer son visage.
D’un geste lent, elle passe sa main à plat sous son œil rougi,
puis sur sa joue, effaçant une larme du bout des doigts.
Il n’est pas loin de deux heures du matin. La pièce
est exiguë mais chaleureuse, meublée de canapés, de
fauteuils et d’une table basse. Karin est installée face à
moi, les jambes repliées, tournant le dos à la rue,
les épaules nues. L’émotion dans la pièce est à couper
au couteau.
- J’avais l’impression de devenir folle, je savais que
ce n’était pas le cas ! Quelque chose m’arrivait qui
n’était pas censé être possible, et ça me rendait
vraiment cinglée. La situation était tellement absurde !
Absurde et si difficile à vivre… Ça durait depuis des mois ;
des mois atroces, puis il y a eu cette nuit-là…
Quelques rares voitures circulent encore dans Brattle
Street malgré l’heure tardive. Silencieuse nuit d’automne.
Le feuillage des arbres est immobile. Le vent s’est tu.
Malgré l’obscurité, les façades des maisons
environnantes se dessinent au-dehors, à demi voilées
derrière les fenêtres.
- Que s’est-il passé ?
- J’étais épuisée. Nous habitions en Floride à cette époque.
Je me souviens d’être allée me coucher tôt ce soir-là,
j’étais tellement fatiguée. Le haut de notre lit était fait
de lattes de bois verticales. Derrière ma tête, il y avait un
morceau de bois puis un espace, un morceau de bois, un espace…
De la main, Karin mime l’alternance entre les lattes de bois
et les espaces vides, comparant l’écart avec celui
séparant son pouce de son index. Ses gestes sont précis
, mais une gêne manifeste se dégage de son corps
à mesure que les détails lui reviennent en mémoire.
Elle redresse le menton, et pose une nouvelle fois
ses yeux sur moi. Je sens bien qu’elle n’éprouve
aucun plaisir, aucune envie de revenir sur cet épisode.
Elle aurait préféré me parler de musique, de ses projets,
de n’importe quoi d’autre. Pas de ça ! Pas de cette manière.
- Quelque chose m’a réveillée. Un truc me chatouillait
le haut du crâne… J’ai d’abord pensé que c’était une
des lattes de bois, que je devais être trop près de la
tête de lit, alors je me suis enfoncée. Mais ça a continué :
quelque chose me touchait ! Pourtant mon lit était placé
de telle manière qu’il n’y avait pas de place derrière ! Rien
ne pouvait passer derrière mon lit, il n’y a pas assez
d’espace pour en faire le tour…
Le visage de Karin se crispe, des larmes reviennent,
elle se tord les mains.
- J’ai commencé à avoir très peur… Je voulais sauter
du lit, je voulais hurler, réveiller mon ami mais j’étais
incapable de bouger, comme si une chape de
plomb m’écrasait… comme… crrrr !
D’un geste sec, Karin abat ses deux mains sur sa poitrine,
figurant le poids invisible qui l’écrase. -
Une couverture de ténèbres m’enveloppe et
je perds connaissance une fraction de
seconde, puis, presque instantanément, je suis à
nouveau consciente. Je ne sais pas, peut-être que
ça a duré deux minutes. Je ne sais pas. Je sens alors
un courant électrique parcourir mon corps, c’est
si intense que je ne peux plus faire un geste. Mes
bras sont droits le long de mon corps, je ne peux
pas même ouvrir ma bouche…
Karin hoquette, ses pleurs redoublent, elle se recroqueville.
- Je ne peux plus rien faire, je suis terrifiée…
- Par quelque chose de particulier ?
- Ne pas être capable de bouger ! Je suis terrifiée d
e ne pas pouvoir faire un geste… je suis paralysée et j
e ne comprends rien à ce qui est en train de se passer…
je suis paralysée ! Je ne comprends rien…
et cette électricité dans mon corps…
J’ai l’impression de voir littéralement Karin se vider
de toute son énergie à mesure qu’elle me
raconte son expérience. L’intensité de l’émotion
qu’elle revît me stupéfie. Elle se mouche, ses yeux
sont rouges et gonflés. Par moments, sa voix est
une plainte ; je sens l’impuissance, la terreur
qui est en train de la submerger à nouveau.
- Et puis j’ai senti cette pression sur le bas du lit !
Exactement comme si un animal venait de bondir
sur ma couette. Juste un pas, volontaire. Je n’ai
aucun animal à la maison ! Et mon ami est
allongé immobile à côté de moi… je sais que quelque
chose ne va vraiment pas ! Oh mon Dieu…
il est en train de se passer quelque chose de vraiment fou !
Puis il y a une autre pression ! Je sens un second pas !…
de l’autre côté de mes pieds… mes jambes sont droites
, mes bras collés le long du corps, je suis toute droite,
paralysée… et encore un nouveau pas, puis un autre…
je suis impuissante, je ne peux pas bouger et
je sens ce truc marcher sur le lit !
Karin mime l’avancée des pas sur son lit ; sur elle !
- Il avance de part et d’autre de mes jambes !
Juste un pas, puis un autre, puis encore un autre,
lentement, doucement. À chacun, je sens la
pression, la couette qui s’enfonce ; un poids contre
mes jambes. Je sais que je suis réveillée, parfaitement
réveillée ! Je peux le sentir, je suis dans mon lit,
je ne suis pas ailleurs, je suis dans mon corps.
Je suis réveillée mais incapable d’ouvrir les yeux.
Je n’arrête pas de penser, et j’ai toutes ces sensations…
et je suis terrorisée ! Jamais je n’ai eu ça dans les
expériences antérieures. Ils étaient toujours à
côté de mon lit, j’étais emportée autre part, et puis…
c’était toujours très flou, confus, je n’étais pas dans
le même état de conscience ; mais là ! Mais là c’est clair,
totalement clair ! Je sais qu’il est en train de m’arriver
quelque chose. Je ne rêve pas. Et je le sens avancer l
entement sur le lit, pas après pas.
Ça semble léger, et vraiment maigre, comme
si ça bougeait… en ligne droite, doucement, posant
un pied puis attendant avant de faire le pas suivant.
S’assurant à chaque instant que je ne vais pas bouger
… attentif à sa sécurité…
- Attentif à sa sécurité ?
- Ça faisait des pauses. À chaque fois, à chaque pas
il faisait une pause. Comme s’il attendait de voir que
je n’allais pas me mettre à bouger. C’était étrange,
je savais ce qu’il faisait.
Un pas, puis un autre, prudemment… ça n’était
pas comme un chat ou un chien, vous savez, ils
sautent, non là c’était un peu comme lorsque vous
avancez vers un animal dont vous ne voulez pas
qu’il s’échappe. Vous voyez ? Ça avançait de la même manière…
et puis ça s’est arrêté. Mon cœur était au bord d’exploser.
- …
- Il s’est arrêté… À la pression sur la couette
, j’ai réalisé qu’il était à cheval sur moi ! Puis
le poids s’est relâché sur ma gauche, il a soulevé
sa jambe, doucement, et comme au ralenti, je
l’ai senti la poser sur ma poitrine ! Je sentais
le poids de ce truc s’enfoncer sur ma poitrine…
Et là, et là… c’est l’horreur …
Devant mes yeux, la respiration de Karin s’accélère,
elle ramène ses bras contre elle, pleure,
ses mots sont hachés.
- Je panique, je panique… je vais mourir !
Je ne comprends rien de ce qui se passe,
il n’y a personne pour m’aider, il n’y a jamais
personne pour m’aider ! Même si mon ami
dort à côté de moi, il ne se réveille jamais !
Il est paralysé ! Et je suis incapable de hurler,
je ne peux pas même bouger la mâchoire,
pas un son ne sort de ma bouche… et je suis tellemen
t en état de choc avec ce truc sur ma poitrine…
Karin arrête son récit un instant, ses yeux fixent le vide
devant elle. Je n’ose l’interrompre. Attentif, à l’écoute,
je suis bouleversé par l’émotion qui la saisit, comme
si elle replongeait des années en arrière, lorsque
tout a basculé dans sa vie, à l’origine du traumatisme.
J’ai presque le sentiment que lorsqu’elle reprend,
il émane d’elle la même terrible résignation que cette nuit-là.
- C’est alors qu’il pose une main contre ma tête !
Je sens quelque chose enfoncer l’oreiller à droite de ma tête !
… puis il y a une autre pression à gauche. Je vais vomir
… je veux perdre connaissance… je veux n’importe
quoi plutôt qu’être réveillée, les yeux fermés,
paralysée par ces vibrations. Je veux disparaître…
C’est atroce, c’est impossible ! Je suis terrorisée,
je perds tout contrôle, comment pourrais-je
croire à ce qui m’arrive ? Ma respiration
est hystérique ; expiration, inspiration, expiration…
et alors là, j’ai cette pensée complètement stupide ;
parce que je sens que ce truc est tout près de moi,
je me mets à penser : « oh mon Dieu, mais je
dois avoir mauvaise haleine ! » Je suis face à ce truc
et je pense à mon haleine… c’est tellement stupide
! À la seconde, instantanément, c’est comme si
je recevais quelque chose dans ma tête, une pensée
qu’il me renvoie et qui dit :
« ça n’a aucune conséquence. » Il me dit que
ça n’est pas grave ! Ça n’a pas d’importance
que ma respiration sente mauvais. En un
éclair tout change, la terreur disparaît et je suis
envahie par un grand calme. Mon corps se détend.
Il le sent, alors j’entends cette pensée, à nouveau
directement à l’intérieur de ma tête : « bien ! » et puis : «
maintenant, tu peux ouvrir les yeux. »
Alors doucement, je réalise que j’arrive à
ouvrir les paupières… il y a toujours cette électricité
qui me parcourt le corps, je suis paralysée
, je ne peux pas bouger, mais j’ouvre les yeux et
… j’aperçois cette chose à quelques centimètres
de mon visage. Je distingue bien sa peau,
c’est comme du cuir…
je ne sais pas… drôle de texture.
Lisse, gris sombre. Et ces yeux, immenses,
comme de l’encre, comme si je pouvais
enfoncer mes doigts dedans. Des yeux
allongés autour de sa tête, très pointus.
Le cou a l’air segmenté… je ne sais pas…
il est tout fin, et je peux voir son corps,
il est maigre, petit. C’est une petite chose, et ses bras…
ses bras, de chaque côté, paraissent segmentés
comme le cou. Je regarde ce truc et je ne peux
pas croire qu’il soit si près de mon visage. Ses yeux !
Je n’arrive pas à croire ce que je vois !
Cette chose, ces yeux… C’est impossible…
je sais que je ne rêve pas !
Karin garde les yeux baissés, en silence.
Les traits tirés par la fatigue, c’est épuisée qu’elle poursuit.
- Je sais que ça paraît complètement fou…
mais ce qui m’est arrivé était réel.
Chacune des cellules de mon corps vibrait,
c’était aussi réel que notre discussion maintenant.
C’était réel parce que mon corps était physiquement impliqué…
Puis, après quelques secondes.
- Ce qui a été le plus traumatisant, oui, la partie
la plus traumatisante de cette expérience a été
d’être arrachée à la réalité ;
la sensation d’être arrachée à soi-même.
Extrait du livre de Stéphane Allix Extraterrestres :
l’enquête, Albin Michel, 2006
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Qui n'a jamais éprouvé un sentiment de déjà-vu ou de déjà-vécu face à une situation pourtant nouvelle ? Qui n'a jamais eu un pressentiment, une prémonition ou une expérience de transmission de pensée ? Depuis la nuit des temps sont rapportés des récits à la fois troublants de similitude et de cohérence et incroyables d'irrationalité.
Certains s'étonnent de reconnaître des lieux qu'ils n'ont pourtant jamais visités. D'autres affirment communiquer avec leurs proches décédés. D'autres, enfin, racontent être sortis de leur corps, s'être approchés du seuil de l'au-delà pour revenir ensuite dans le monde des vivants. Et combien témoignent d'étranges flashs de clairvoyance...
S'agit-il de croyances, d'hallucinations ou d'une autre réalité encore inexpliquée. Ces expériences dites extraordinaires, longtemps niées, sinon rejetées par la science, font aujourd'hui l'objet d'études approfondies, voire d'enseignements dans des universités et des centres de recherche parmi les plus illustres.
Ainsi, la Parapsychological Association, regroupement de scientifiques et d'universitaires qui étudient les phénomènes de télépathie ou de psychokinésie, a-t-elle été admise au sein de la très sérieuse American Association for the Advancement of Science (AAAS) ; une division des études perceptuelles a été créée à l'Université de Virginie, aux Etats-Unis ;
un centre pour l'étude des processus psychologiques anormaux s'est ouvert à l'université de Northampton, en Grande-Bretagne (qui compte déjà huit établissements universitaires intégrant des disciplines parapsychologiques) ; sans oublier le Centre de recherche sur la conscience et la psychologie anormale à l'université de Lund, en Suède, ou le département de psychologie et parapsychologie de l'université d'Andhra, en Inde...
En France, depuis peu, l'université catholique de Lyon propose à ses étudiants une unité de valeur facultative intitulée « Sciences, société et phénomènes dits paranormaux ».
Par ailleurs, des scientifiques, assez audacieux pour affronter l'esprit critique de leurs pairs, tentent de comprendre ces étranges événements. Armés des outils de l'imagerie cérébrale, ils explorent le cerveau, expérimentent sans a priori, prêts tout aussi bien à admettre que le phénomène est lié à un simple dérèglement neuronal qu'à reconnaître l'existence d'un sixième sens, pour autant que la démonstration en soit faite de manière cartésienne.
C'est le cas du Canadien Mario Beauregard, chercheur en neurosciences, qui installe des écrans vidéo dans une unité coronarienne d'un hôpital de Montréal pour étudier le phénomène des expériences de mort imminente (EMI). C'est aussi celui du neurologue suisse Olaf Blanke, qui décortique le sentiment de décorporation tout en reconnaissant que de nombreuses zones d'ombre restent à élucider...
Des recherches qui ont pour but de mieux comprendre l'origine et les mécanismes de la conscience.
Et de répondre enfin à ces questions : l'homme n'est-il que matière ? Le corps est-il une enveloppe charnelle indépendante de l'âme ? Ou l'esprit humain obéit-il, en certaines circonstances, à des formes dont nous ignorons encore tout ?
» Les EMI : un véritable défi pour les scientifiques
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» De la paramnésie à la télépathie
» Le point de vue des religieux
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Ma Maman est décédée depuis 3 ans, elle avait 83 ans. Nous étions très proches. Depuis son départ, elle est souvent dans mes rêves mais elle est toujours très méchante avec moi, elle ne semble plus m'aimer. Le matin, je me réveille très tourmentée.
Elle me manque toujours autant, chaque minute elle est dans mes pensées et ma souffrance est profonde.
TU NOTES CECI ...dans mes rêves mais elle est toujours très méchante avec moi,
est ce que en tant que vivante elle etait aussi ???
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Ma Maman est décédée depuis 3 ans, elle avait 83 ans. Nous étions très proches. Depuis son départ, elle est souvent dans mes rêves mais elle est toujours très méchante avec moi, elle ne semble plus m'aimer. Le matin, je me réveille très tourmentée.
Elle me manque toujours autant, chaque minute elle est dans mes pensées et ma souffrance est profonde.
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Directeur artistique, Christophe a perdu l’un de ses deux fils, mort à 16 ans dans un accident. Les signes étranges survenus alors ont bouleversé son esprit rationnel, mais ses proches ne l’ont pas compris.
« Trois jours après la mort d’Antoine, j’ai aperçu une petite boule lumineuse qui brillait au-dessus de mon lit. Je suis plutôt rationnel et, à l’époque, je cultivais ce que l’on pourrait appeler un “matérialisme indifférent” :
Dieu, l’au-delà, la communication avec les morts et les phénomènes de ce genre me semblaient inconcevables. Mon fils était mort, point final. Ce matin-là, j’ai quand même vérifié les rideaux, la fenêtre…
J’étais trop effondré pour m’étonner, m’inquiéter ou même réfléchir. Je me suis rendormi.
Le premier choc dans mes convictions est survenu trois mois plus tard. Toujours aussi malheureux, ma femme et moi étions dans la chambre d’Antoine quand j’ai reçu deux coups derrière la tête.
J’ai regardé derrière moi en disant : “On m’a frappé !” “C’est peut-être Antoine”, a lancé Marianne. “Peut-être”, ai-je répondu, et on en est resté là. Croyante, quoique non pratiquante, Marianne lisait des livres sur l’après-vie, et je commençais probablement, inconsciemment, à accepter cette idée
: elle adoucissait ma peine et avait le mérite d’apporter une explication – d’autant plus envisageable que ce geste “collait” avec la personnalité très “directe” d’Antoine.
Peu de temps après, Marianne m’a entraîné chez un médium. J’ai accepté d’y aller, par curiosité : peut-être cela me ferait-il du bien – j’allais tellement mal ! Mais j’étais très sceptique, pour ne pas dire critique. À tel point que je n’ai pas fait le rapprochement avec ce qui m’était arrivé quand, dès le début de la séance, le médium s’est penché en avant en disant qu’il venait de recevoir deux claques derrière la tête et qu’Antoine lui signifiait par là qu’il avait été tué sur le coup.
Pour nous, ce fut d’abord un immense soulagement, car nous n’avions pas été autorisés à voir son corps et imaginions les pires scénarios. Ensuite, sans nous connaître, avec seulement la photo d’Antoine, le médium nous a dépeint sa personnalité, ses comportements, ses relations avec nous. “Talent de morphopsychologue ?” me suis-je demandé.
Possible, mais comment expliquer qu’il décrive ensuite avec précision notre maison, ou l’absence de relation entre Antoine et ses grands-parents, ou encore un cadeau acheté pour sa petite amie qu’il nous enjoignait, selon le médium, de remettre à la jeune fille ?
J’étais à la fois impressionné, étonné, rassuré, soulagé. Consolé ? Non, on ne se remet jamais de la perte d’un enfant. Mais ma conception de la mort commençait à être sérieusement chamboulée, d’autant que les manifestations ont continué :
bruits de pas, de portes qui claquent, objets qui disparaissent ou apparaissent, petits signes dont on peut toujours se dire qu’ils sont le fruit du hasard, mais qui finissaient par s’accumuler ! Cette “présence” me faisait du bien, mais cela n’empêchait pas les rechutes dans la souffrance, le retour des doutes, qui persisteront certainement toujours.
J’ai alors essayé d’enquêter, de comprendre. Ces messages incompréhensibles sur mon téléphone portable, par exemple, pouvais-je en remonter la piste ? Peine perdue : selon mon fournisseur, ils n’avaient “aucune provenance”. Cette absence d’explication technique me donnait le droit d’adhérer à l’idée d’un clin d’oeil de mon fils, et cette idée me faisait plaisir, j’en étais parfaitement conscient.
Je regrette cependant que certains amis auxquels nous nous sommes alors confiés en soient restés à des remarques un peu condescendantes, du genre : “Si ça vous fait du bien, on est contents pour vous.” Refusant de considérer les possibilités que l’expérience ouvrait, ils ont d’abord tenté d’en réfuter la réalité. Puis, apprenant que nous allions voir des médiums et participions à des conférences, ils ont cherché à nous en dissuader, au nom du risque sectaire.
Je sentais aussi que mon psychiatre ne souhaitait pas s’étendre sur ce terrain. Pourtant, et je le dois en grande partie aux personnes rencontrées à l’Inrees, même si je souffre, je sais que je ne suis pas fou. Je gère le quotidien aussi rationnellement qu’avant.
Ma vie a changé, bien sûr : les petits soucis me paraissent aujourd’hui sans importance, et la réussite sociale sans intérêt. Je prêche pour davantage de tolérance, moins d’égoïsme et, sans pouvoir dire que je crois en un Dieu, je me suis ouvert à une spiritualité qui m’est propre. Je sais, pour l’avoir ressenti, que mon fils est “vivant”. Il m’arrive de penser que tous ces événements n’avaient pas d’autre but : me faire évoluer. »
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Communication avec les défunts, sorties de corps, télépathie… Pas simple, pour ceux qui vivent ces phénomènes, d’oser la confidence sans craindre d’être pris pour des fous. Un groupe de psychologues propose de les écouter sans les juger.
Il y a vingt ans, après une chute accidentelle, je me suis soudain retrouvé hors de mon corps, observant depuis le plafond les gens qui s’affairaient autour de moi.
Ensuite, ma vie a défilé devant mes yeux, j’ai eu l’impression d’entrer dans un tunnel sombre, débouchant sur une lumière bienfaisante… et j’ai réintégré mon corps ! » Il a fallu des années à Jérôme, 35 ans, cadre dans une grande organisation internationale, pour accepter de raconter ce qu’il appelle sa NDE (near death experience, « expérience de mort imminente »).
« Quand j’en ai discuté avec le médecin qui m’a réanimé, elle m’a dit que c’était le contrecoup du choc ou un délire provoqué par la production d’un cocktail anarchique d’hormones et de neurotransmetteurs qui se manifeste lors de certaines syncopes.
J’ai eu beau rétorquer que cela n’expliquait pas comment j’avais pu la voir en train de me réanimer comme si j’étais un simple spectateur, ni comment je pouvais décrire cette scène en détail, elle n’a rien voulu entendre et m’a donné des tranquillisants. »
Jérôme a donc préféré se taire – et garder pour lui les « sorties de corps intempestives » qu’il a vécues ensuite : « Au début, j’ai eu peur et j’ai tout fait pour les ignorer en me plongeant dans mes études, confie-t-il.
Comme les crises revenaient environ une fois par an, je suis allé voir un psychiatre. J’ai eu le malheur de mentionner que j’avais l’impression, dans ces moments-là, de me “projeter” dans un objet proche – par exemple, un arbre –, et de pouvoir ressentir ce qu’il percevait. Le psychiatre m’a demandé si je me droguais !
Puis il m’a prescrit des anxiolytiques, tout en me prévenant contre un désir inconscient de toute-puissance, possible précurseur d’une dissociation de ma personnalité.
Je suis sorti de là terrifié, me voyant déjà schizophrène à l’asile. » Depuis, la réussite de sa carrière a rassuré Jérôme sur sa santé mentale, mais il continue à redouter le retour de ses « crises ».
Association créée en 2007, l’Institut de recherche sur les expériences extraordinaires (Inrees) compte près de deux mille membres. Il a recueilli de nombreux témoignages et a reçu le soutien de thérapeutes d’avant-garde, tel Stanislav Grof, père de la psychologie transpersonnelle. Son ambition : créer un réseau de thérapeutes ouverts à ces sujets, voire organiser un cycle de formation.
Il publie ce mois-ci un livre destiné aux thérapeutes comme à tous les curieux. Rassemblant les travaux de plusieurs spécialistes et passant en revue toutes les catégories de phénomènes, ce Manuel clinique des expériences extraordinaires (dirigé par Stéphane Allix et Paul Bernstein, Inrees-InterÉditions, à paraître le 21 octobre) présente les différentes interprétations possibles, les mécanismes psychologiques en jeu et leurs éventuels glissements pathologiques.
Renseignements : Inrees, 67, rue Saint-Jacques, 75005 Paris. www.inrees.com
Si ces expériences sont souvent douloureuses à vivre, c’est parce que, selon notre conception de la réalité, elles ne peuvent tout simplement pas exister. Il se produit alors, chez les témoins, ce que la psychologie appelle une « dissonance cognitive » :
entre croire ce qu’ils ont vécu et croire la science qui affirme que c’est impossible, que choisir ? Le dilemme peut être si fort qu’il provoque chez certains une perte de repères que John E. Mack, professeur de psychiatrie à l’école de médecine de l’université Harvard, aux États-Unis, qualifiait de « choc ontologique » – antichambre de la vraie folie. Pourtant,
« les expériences extraordinaires arrivent plus fréquemment qu’on le croit, estime Patrick Clervoy, auteur des Psys en intervention (Doin, 2009), chef du service psychiatrie de l’hôpital d’instruction des armées Sainte- Anne, à Toulon. Mais, comme les chocs traumatiques, elles laissent aux gens l’impression qu’ils ne pourront jamais en communiquer la force et la teneur, qu’il faut les avoir vécues pour comprendre .
Or, elles demandent, comme les chocs traumatiques, à être intégrées psychiquement, via un récit ». Encore faut-il que quelqu’un écoute ! Mais plus l’expérience est étrange, plus elle dérange nos esprits cartésiens, et moins l’écoute est au rendez-vous. Au malaise qu’elle provoque, s’ajoute alors la douleur de ne pouvoir être entendu.
Créé il y a deux ans, l’Institut de recherche sur les expériences extraordinaires (Inrees) propose de pallier ce manque d’écoute. « Le débat entre ceux qui croient à ces phénomènes et ceux qui n’y croient pas est stérile, affi rme son fondateur, Stéphane Allix, ex-reporter de guerre, auteur de La mort n’est pas une terre étrangère (Albin Michel, 2009).
Les preuves que les uns pensent apporter sont rejetées par les autres au nom des théories classiques en vigueur. Notre ambition est de fédérer des professionnels de santé, pour offrir à ceux qui vivent ces expériences un cadre leur permettant d’être écoutés dans leur dimension essentielle : la dimension humaine. »
Car il ne s’agit pas de nier que ces phénomènes puissent être liés à des troubles psychiques bien réels. « C’est précisément pour cette raison qu’il faut écouter d’abord, sans idée préconçue », explique la psychologue et psychothérapeute Isabelle de Kochko, qui étudie, à l’Inrees, les phé no mènes de hantise et de possession.
Si les « sorties de corps » de Jérôme ont été diagnostiquées comme présageant une possible schizophrénie, la communication avec un défunt peut facilement être confondue avec une psychose ou un deuil morbide, la possession avec une paranoïa ou un désordre de personnalités multiples – comme le rappelle le sociologue Paul Bernstein dans le premier chapitre du manuel de l’Inrees (encadré p. 98).
Quant à la télépathie, la voyance ou la précognition, elles peuvent être prises pour des troubles bipolaires (les troubles bipolaires se traduisent par une oscillation perpétuelle entre un pôle dépressif et un pôle d’hyperexcitation).
Seule une écoute attentive permet d’éviter ces diagnostics précipités, en observant la façon dont la personne relate son expérience : en présente-t-elle le souvenir avec l’émotion qui devrait lui être liée ? Cherche-t-elle à tout prix à convaincre ? Vit-elle son quotidien de façon sensée ?
L’écoute sans jugement, l’ouverture d’esprit, la prise de distance face à nos a priori permettent au témoin de faire un lien entre son expérience et un éventuel trouble psychique, et d’en tirer un bénéfice personnel. «
C’est un moment pathologique, pas une pathologie, souligne la psychologue et psychanalyste Djohar Si Ahmed, auteure de Comment penser le paranormal (L’Harmattan, 2006). Il peut se révéler constructif s’il est bien intégré, car il n’affecte pas la personnalité. »
Ariane, ostéopathe de 26 ans, qui a des visions depuis son adolescence, le confirme. « Les premières fois, j’ai eu très peur, raconte-t-elle, mais quand j’ai vu les réactions de ma famille – silence, regards fuyants… –, j’ai compris que je ne pouvais en parler qu’à très peu de gens. »
Plus tard, Ariane s’est découverte capable de percevoir les douleurs physiques d’autrui. « Mais ce n’est qu’aujourd’hui, diplôme en poche et plus sûre de moi, que je commence à explorer ce qui est peut-être un don de guérisseuse », déclare-t-elle.
La rencontre de personnes ayant vécu des expériences semblables et de chercheurs apportant différents schémas d’explication la conforte dans cette voie.
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bsr moi j ai juste une petite question voila il y a 1 an mon papa est décédé il vient dans mes rèves mais ne parle jamais que cela peut til signifiai?
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salut Auriane comment vas tu?
bon je viens te voir pcq hier j'ai fait un rêve qui m'a "traumatisée" chais pô si c'est le terme mais on va dire que j'y pense encore bcp, voilà:
mon rêve c'était que je "prêtais" mon mec à un copine. quand je dis preter c'est que je les autorisais à faire des choses pô très sages ensembles. le pire c'est que je restais dans la pièce d'à côté et que j'étais mal alors que je les avais autorisés. et aussi mon mec dans mon rêve était blanc alors qu'en vrai c'est un black, et quand je me suis réveillée je me sentais mal comme durant le rêve quand ils batifollais avec mon accord et aussi dans mon rêve mon mec me disait et me prouvait qu'il m'aimait?????????? trop bizarre
pareil ya aucune explication mais bon en cas je préfère t'en parler mais cette nuit aussi j'ai fait un rêve étrange, un des petits chats qu'on a mourrait empoisonné, c'est celui qu'on cherche à donner, d'ailleurs si ça interesse qqn, lol!! alors bien sûr ce matin au lever première chose, retrouver ce petit chat pour voir s'il allait bien!!!! et heureusemnt elle était vivante et en bonne santé
voilà, merci d'avance du tps que tu m consacreras et bonne soirée
@ bientôt Byz
Mél'
salut Auriane comment vas-tu?
je fais remonter mon space rêve si t'as le tps de l'interpréter, si ya qqch à interpréter, lol!!
merci d'avance et bonne soirée
Byz Mél'
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pendant 2 jours je vais faire de l initiation a la meditation et comme c est des boudhistes qui le pratique ,,je vais leurs poser la question au sujet des esprits qui ne se sont pas reincarner ,,,comment ca se passe ,,,,,,j apporterai leurs reponses ici ,,,,,,,
en tout les cas merci lamiss069 pour ton aide ...
On attend ça avec impatience Roseline!! Mercii d'avance!!
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Extraterrestres : l’enquête » Albin Michel, 2006
Présentation : La science est en pleine révolution. De l'astrophysique à la psychiatrie en passant par la neurologie et la physique quantique, elle révèle les limites de notre perception de la réalité. Chaque jour, de nouvelles découvertes viennent balayer certaines de nos certitudes. Intrigué par ces bouleversements, l'ancien reporter de guerre et journaliste d'investigation Stéphane Allix est allé à la rencontre de ceux qui affirment avoir vu des ovnis ou être en contact avec des "entités non-humaines". Il examine ici leurs récits à la lumière des changements qui secouent la recherche scientifique et commencent à affecter notre vision du monde. Il nous fait également découvrir les travaux de John E. Mack sur les récits de " rencontres extraterrestres ". Les analyses de ce professeur de psychiatrie de l'université de Harvard établissent clairement que la plupart des témoins ne souffrent d'aucune pathologie mentale mais que leurs expériences présentent, au contraire, les caractéristiques physiologiques de traumatismes réels. Résultat de trois années de recherches, cette enquête inédite et troublante nous confronte à un phénomène incontestable, et pourtant encore largement controversé.
« La mort n’est pas une terre étrangère » Albin Michel, 2009
Présentation : Stéphane Allix a brusquement changé de voie après un événement bouleversant : la mort de son frère en Afghanistan en avril 2001. Depuis, il explore les mystères de la conscience. Dans ce livre qui nous entraîne aux quatre coins du monde à la rencontre de médecins, chercheurs,
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La posture de l'INREES face à l'extraordinaire
La posture de l’INREES se résume en ces mots : « autour de nous, à chaque instant, quantité d’événements se produisent que nous ne comprenons pas. Il peut s’agir d’expériences qualifiées de surnaturelles et rapportées en toute bonne foi par des témoins. Des phénomènes étranges, des entités qui apparaissent dans notre environnement, la vision à distance, le 6e sens, ou les expériences aux frontières de la mort en sont quelques exemples. La fréquence de ces expériences est telle qu’il n’est plus possible d’en nier la réalité au seul prétexte qu’elles sont jugées impossibles. D’abord parce que la science elle-même remet en question un grand nombre de ses fondements, et puis surtout parce que trop de témoignages indiscutables ont été collectés. »