je viens enfin de terminer "mémoire d'une nuit d'orage "de Nancy Pickard

Une nuit d'orage . une terible tragédie .vingt-trois ans apres, le passé resurgit.....

je vais entreprendre "la maison de fer "de John Hart

résumé: 2 orphelins brutalement séparés se retrouvent vingt ans plus tard pour affronter leurs démons...et perçer le mystére de leurs origines.

On vient de m'offrir 3le vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire"(on m'a offert ça pour le mien d'anniversaire  je n'ai pas su comment il fallait le prendre!!!!!!!!!) ça a l'air rigolo mais je viens juste de le commencerAutrement je viens de finir Le silence du BOurreau récit d'un français interné dans un camp de kmers rouges et protégé par un homme dont il apprend ensuite que c'est un directeur de camp de concentration Ce livre est à rapprocher de  L'élimination de Ritty Panh qui est lui un intellectuel cambodgien incarcéré dans le camp en question

La dernière gorgée de bière ...

Ce livre je l'ai lu en ... 1997 ! Dans l'autre siècle ? Je l'ai lu et relu, passé à mon mari qui a aimé lui qui n'a pas ce genre de lecture.

Pour ma part je l'ai savouré plus que je ne l'ai lu. Le passage sur les petits pois m'a ramenée enfant, assise à la table de la cuisine les écossant, d'ailleurs j'en mangeais plus que je n'en laissais dans la cuvette en émail.

Un petit extrait : ..." C'est facile d'écosser les petits pois. Une pression du pouce sur la fente et elle s'ouvre docile, offerte. Quelques unes, moins mûres, sont plus réticentes. Une incision de l'ongle de l'index permet de déchirer le vert  et de sentir la mouillure et la chair dense, juste sous la peau faussement parcheminée. Après on laisse glisser les boules d'un seul doigt. La dernière est si minuscule, parfois on a envie de la croquer...  On passe les mains dans les boules écossées qui remplissent le saladier, c'est doux ; toutes ces rondeurs contiguës  font comme une eau vert tendre, et l'on s'étonne de ne pas avoir les mains mouillées. Un long silence de bien être clair, et puis : "il y aura juste le pain à aller chercher"...

Je commanderai, toujours de Philippe Delerm : "je vais passer pour un vieux con"

J'espère que tu profitera bien de ta tablette ma chère Lierre et que tu retrouveras l'envie de la lecture Pour moi c'est presque une drogue et de ce fait je file à mon bouquin que je viens de commencer la promesse de l'ange de frédéric Lenoir

oui je sais que plus ou moins je renvoie l'image d'une intello et kj'en suis un peu une mais Marie Higgins Clark c'est bien quand même 

Je viens d'aller à une conférence de Christophe André sur l'estime de soi à propos de son livre "Imparfaits ,libres et heureux" très interessant

Bon je retourne à mon bouiquin du Anne Perry "Une mer sans soleil" qui traite d'un affaire policière sur fond historique de la guerre de l'opium où les anglais ont joué un rôle peu glorieux

Oui Martha grimes c'estdu policier culturel et pas dégoulinant de sang

J'ai reçu des livres pour Noël mais c'est effarant tout le monde me prend pour une intello à fond je n'ai reçu que des livres sérieux,de philo par exemple !!!

Je le lis en ce moment et vraiment j'aime beaucoup, il s'agit de "Le Prisonnier du ciel" de Carlos Ruiz Zafon. En nous offrant cette suite de "L'ombre du vent", l'auteur nous fait entrer de plain-pied dans un récit digne du Comte de Monte-Cristo.

Carlos Ruiz Zafón n'est pas un romancier comme les autres : il est le maître d'un univers dans lequel les histoires s'enchevêtrent, tandis que les êtres vivants croisent les fantômes du passé.

Voici le résumé (scanné) sur la jaquette :

Des secrets de sinistre mémoire viennent hanter Daniel Sempere et son ami Fermín, les héros de L'Ombre du vent.

Barcelone, Noël 1957. À la librairie Sempere, un inquiétant personnage achète un exemplaire du Comte de Monte Cristo. Puis il l'offre à Fermín, accompagné d'une menaçante dédicace. La vie de Fermín vole alors en éclats. Qui est cet inconnu ? De quels abîmes du passé surgit-il ? Interrogé par Daniel, Fermín révèle ce qu'il a toujours caché. La terrible prison de Montjuïc en 1939. Une poignée d'hommes condamnés à mourir lentement dans cette antichambre de l'enfer. Parmi eux Fermín et David Martín, l'auteur de La Ville des maudits. Une évasion prodigieuse et un objet volé... Dix-huit ans plus tard, quelqu'un crie vengeance. Des mensonges enfouis refont surface, des ombres oubliées se mettent en mouvement, la peur et la haine rôdent. Foisonnant de suspense et d'émotion, Le Prisonnier du ciel nous rapproche pas à pas de l'énigme cachée au coeur du Cimetière des Livres oubliés.

en ce moment je lis du BOURDIN  françoise , lecture simple mais agréable

Pour ODETTE : Je ne me souvenais plus de l'auteur ni du titre du livre que j'avais trouvé amusant. à propos du type qui retape une vieille maison .Avec l'aide des bibliothécaires , j'ai retrouvé  : C'est "VOUS PLAISANTEZ , MONSIEUR TANNER" de Jean Paul Dubois .

Bonne lecture !

Je te mets le résumé Odette, mais au bout de la 3ème page, t'es déjà à fond dedans....

Fresque historique d une qualité rare,
La Cathédrale de la mer, véritable phénomène éditorial, est enfin publié en France.

Au coeur de la Barcelone médiévale, de la Grande Peste à l Inquisition, Arnau, jeune paysan, endure les pires tourments et humiliations pour devenir un homme libre. Son destin hors du commun en fera le héros de tout un peuple...
Au XIVe siècle, au rythme de la construction de l église Santa María del Mar chef-d'oeuvre du gothique catalan édifié « pour le peuple et par le peuple » en un temps record (cinquante-sept ans) , le lecteur suit pas à pas le parcours semé d embûches d Arnau Estanyol pour conquérir sa liberté. Fils d un paysan exilé à Barcelone, devenu membre des bastaixos une confrérie de porteurs de pierres chargée de convoyer leurs chargements jusqu à la future cathédrale , puis vaillant soldat du roi, il fait fortune avec l' aide du juif Hasdai, dont il a sauvé les enfants. Le voilà riche cambiste, consul... et époux, bien malgré lui, de la pupille du roi. Malgré son statut et ses nombreuses responsabilités dans la cité catalane, il saura résister aux plus terribles machinations, à l Inquisition, et n aura de cesse de défendre les pauvres et les esclaves...

J'ai lu Benoite Groult, c'était "Ainsi soit elle" c'est une féministe comme je les aime.

Alphonsine, j'ai lu "Le parfum", là aussi c'est un roman d'une qualité rare.... on ne peut que méditer sur les "meurtres" et j'ai eu du mal à condamner le meurtrier.... J'ai adoré (sauf le passage un peu longuet quand il se retire dans la montagne)

Pour les photos, de ma Bibliothèque, on m'a dit que l'architecte l'avait  interdit. Je trouve ça con ! je me demande bien pourquoi ! on va pas la lui manger sa Bibliothèque....
Tiens, je demanderai la prochaine fois que j'irai au Louvre.