déprimant tout ça !

 tu as raison mamiloup ce sont les plus pauvres qui font vivre le pays et pourtant ils ne sont pas considérés, et les petites entreprises non plus !!!  

Nos dirigeants se sont arrangés pour nous appauvrir et nous endetter pour qu'on ne se rebelle plus.  ILS nous parlent de crise mais continuent à gaspiller l'argent public. A nous de nous serrer la ceinture, à nous de payer des taxes supplémentaires, à nous de faire des économies sur les choses essentielles, et eux ils continuent de pavaner. 

Domino tu m'excuseras mais le discours quand on veux on peut je veux plus l'entendre. C'est fini l'époque je démissionne et vais voir en face. Mon père avait ce genre de discourt au début mais à force de me voir et bien je peux te dire qu'il l'a bien changé !

J'ai eu une conseillière pole emploi qui me le sortait à tour de bras, je me suis battue mais rien ! Quand tu as frappé a toutes les portes et qu'elles se sont toutes refermées et bien tu fais quoi ???

La crise elle a bon dos mais si mon patron me licencie c'est en grosse partie à cause d'elle ! Entre les gens qui nous font faire du travail et qui paie pas parce que eux aussi ont des soucis financiers, les boulots qu'on ne fait plus car plus d'argent et les charges qui augmentent ! Mon patron m'a montré les chiffres, en bref 33% de revenu en moins et plus de charges, y'a un moment c'est plus possible !

Et, ne le prend pas pour toi mais, généralement ceux qui me sortent ça n'on jamais connu cette galère et sont bien au chaud à leur boulot alors c'est trop facile de critiquer ! Combien de fois on m'a sorti que j'étais pas assez motivé car sinon j'aurais déjà trouvé, et les dizaines d'entretien d'embauche que j'ai passé avec des fois plus de 100 candidats pour un poste ??? hein ? Pas motivée ? Motivée mais à la fin lassée de se battre pour rien !

corcor je suis désolée pour toi,  je sais que tu es une battante, et très courageuse heureusement !  je crois en toi ! j'espère que  ce qui parait une catastrophe aujourd'hui, va finir par se transformer en vie meilleure dans quelques temps.

Je suis une lutteuse mais j'ai lutter 2 ans de mi 2008 à mi 2010, je suis dans un boulot que j'adore, alors j'ai déjà donner, me battre contre le vent est impossible.

J'ai fait bilan de compétences, stages, ateliers entretien d'embauche etc et tout ça n'avait servit à rien.

De plus perdre nos envies de maison et de mariage en une phrase : je suis obligé de te licencier..." et là tu te mets à réflechir à ce que tu avais prévu à cours et moyen termes et là tout s'écroule et connaissant le marché actuel je sais très bien qu'il va falloir être patient très patient

Je suis pas pret de retrouver du boulot avec le contexte actuel... j'ai lutté 2 ans au début de la crise, là elle s'est aggravée... et le pire c'est que ludo sera au chomage aussi en septembre... à 28 et 32 ans c'est chouette la vie...

là tu cumules ! dans le genre poisse tu as le gros lot; J'espere que tu retrouveras rapidement un boulot pour ton moral et si j'ai bien compris pour tes finances aussi; Pour ton Homme je suis comme les autres aide le sauf si lui ne fait pas d'efforts ne perd pas ta jeunesse dans des promesses aleatoires.

bon courage

Corcor il faut que ton homme fasse un bilan sanguin pour voir ou en est son corps : les gamma GT et les transaminases ( bref !! le docteur en sera plus que moi ) , j'ai trouv" un article :

Par contre, il faut savoir qu'il y a dépendance, même en cas de consommation modeste, quand celle-ci est devenue régulière, que le besoin en est impérieux et que les doses ont tendance à progressivement augmenter.

Dans certains cas on se moque de lui, dans d’autres on le méprise. Puis, croyant lui rendre un peu de dignité, plutôt que de parler de poivrots ou d’ivrognes, la médecine parlera de malades alcooliques.

S’occupant à le guérir, le médecin voit ainsi un malade à libérer du mal alcoolique. Il risque alors d’accorder plus d’importance à ce mal à combattre qu’à l’individu qui le porte… ou plutôt qui l’exprime, car ce mal est très souvent l’expression d’une grande douleur que personne n’écoute. La considération envers l'individu malade est donc toujours un peu absente. Le mal est "mieux considéré" que celui qui le porte.

Les méfaits réels et cataclysmiques de l’alcool nous font oublier que celui qui boit, a une raison de boire. Les graves dangers des effets de cet alcool sur lui-même, mais aussi sur les autres (par exemple sur la route) masquent son visage humain, son visage meurtri.

Il est habituel de mentionner que le malade alcoolique a tendance à nier son alcoolisme. Les soignants signalent souvent que ce dernier dissimule la réalité de sa consommation, qu’il ment sur les doses réelles et estime qu’au fond il ne boit pas vraiment tant que ça. Cette attitude de déni est en effet fréquente chez ce type de patients.

Il y a trois fractures à prendre en compte pour comprendre et aider un malade alcoolique :

Pour la première, une situation douloureuse de son passé l'amène à éprouver le besoin d'en éloigner le souvenir de sa pensée. Il cherche à soulager sa douleur par la mise à distance de celui qu'il était dans ce moment pénible. L’alcool l’aide à augmenter cette distance en anesthésiant la blessure. Il s’en trouve moins douloureux ou moins inhibé, mais aussi coupé de ce moment de sa vie.

Pour la seconde, la rupture s’étend à sa vie sociale où l’alcool produit un éloignement entre les autres et lui-même. Il est devenu insupportable et son entourage le met à distance. Ses proches sont moins proches, et même parfois très loin, de plus en plus loin. La rupture s’installe et s’aggrave de la part de ceux qui l’entourent. Inversement, une rupture de sa part avec autrui se développe également car il doit de plus en plus se cacher pour échapper aux insupportables conseils, reproches ou jugements des autres.

Pour la troisième il méprise secrètement l’individu dépendant qu’il est devenu. Il finit par détester cette anesthésie alcoolique, même si elle l’aide à mieux supporter son mal vivre. Il sent bien que le côté néfaste de l’alcool prend le pas sur le bénéfice qu’il en retire. Mais, devenu dépendant, sa volonté est sans effet et il se contente de mépriser celui qu’il est devenu et qui s’est mis à boire. Il en vient même à détester l’alcool dont pourtant il ne peut se passer.

Comme dit l’adage, avec cette troisième fracture, il doit maintenant aussi boire pour oublier qu’il boit. Ceci est dit comme une boutade, mais c’est hélas bien réel.

Pour aider le malade alcoolique, il faudra s’occuper avec délicatesse de ces trois fractures (et non les agrandir). Examinons plus en détail ces trois ruptures.

domino j'ai un parrain alcoolique qui a été interné 3 fois en HP alors j'arrive à savoir quand quelqu'un peut s'en sortir "seul" (sans doc) ou pas.

Ma meilleure amie qui a fait une tentative de suicide en début d'année m'a dit de le soutenir mais que si rien n'y faisait de partir mais qu'elle comprenait sa douleur qu'elle etait passée par un cap dur et que ce n'est pas le moment de le laisser tomber, elle n'a pu parler à personne.

Cette année on a perdu nos rêve de maison, lui son rêve de boulot, il ne se remet pas du décès de son parrain, de plus il vient d'apprendre de nouvelles choses sur son accident comme le fait que le corps était dans l'avion quand celui-ci a brulé donc il se pose la question de savoir si il est décédé suite à l'impact de l'avion au sol ou au feu...

Bref il veut changer de boulot il en a marre et je l'y encourage, si il a un meilleur boulot le moral suivra. Je verrais avec le temps, là il m'a dit qu'il n'avait pas bu des 3 jours sauf les 3 coupes de crémant pour le réveillon... je sais pas si il dit vrai, je vais le soutenir dans cette voie mais si il se moque de moi je ne me laisserais pas faire et au besoin, je préviendrais ses parents pour qu'il ai un electrochoc ! J'ai contacté un ancien membre du site, ancien alcoolique pour qu'il me guide au mieux.

Voici ce que dit une revue de santé :

• Les gens souffrant de dépression utilisent l'alcool comme un médicament, soit pour les aider à retrouver le moral, soit pour les aider à s'endormir. Même si l'alcool a un effet désinhibant quand il est bu dans de petites quantités, les problèmes finiront par arriver si la prise d'alcool est faite pour oublier la dépression ou la faire disparaître.
• L'alcool, bu dans de grosses quantités, que ce soit pour traité une dépression ou non, produit un effet conduisant à la déprime et à la dépression sur l'humeur des gens ce qui les place dans un cercle vicieux (boire toujours plus pour oublier)

Je ne l'excuses pas du tout !!! Je sais le motif de son mal être mais je lui ai bien dit que ce n'est pas en picolant qu'on règle ses problèmes !!!! Quand je dis qu'il n'est pas bourré tous les jours c'est que une bouteille de 1L de whisky fait 3 jours, c'est déjà trop vu le prix que ça coute !!!

Il m'a dit qu'il va aller voir un médecin j'attends de voir. Je me fache mais il se braque, j'ai demandé l'adresse de quelqu'un qui est un ancien alcoolique pour qu'il m'aiguille à l'aider. Ca fait un moment que je lui dis d'aller voir un médecin parce qu'il n'a pas le moral, je dirais même un état dépressif et après quelques recherches les hommes se mettent gentillement à boire pour "oublier leurs soucis" quand l'état depressif s'installe.

Je cherche juste un moyen de l'aider à s'en sortir car se n'est pas en me barrant que je vais l'aider. Il m'a dit qu'il essayait de se retenir mais que c'était dur, après il dit ce qu'il veux je peux pas surveiller la bouteille en permanence.