La première fois est sacrée pour toutes les femmes.
Ma première fois, j'ai voulu l'oublier et j'ai voulu en mourir.
Mes premiers bals a 17 ans à cause d'un père autoritaire alors j'en ai profité et bien entendu je suis vite tombée amoureuse.
Je l'ai vu dans un bal, flirt et petits bisous, rien de plus.
Second bal, je ne m'attendais pas à le voir, mon coeur bat la chamade, je n'en peux plus.
La soirée se passe gentilement et il em fait des signes soit disant pour me charmer.
Les bières défilent et je me refuse à en boire mais il me demande si j'en veux une.
Erreur de ma vie, je ne fais pas attention quand il va chercher mon verre.
Je le bois et d'un coup je ne me sens pas bien : sueurs, vertiges, tremblements.
J'ai peur d'aller dehors mais je me sens comprimée dans la salle.
Il le voit et me dit d'aller m'asseir dehors, que ça me ferait du bien.
Il se tient près de moi, sans rien me faire mais d'un coup je trébuche.
Il m'attrape par le bras et m'allonge par terre. Je n'ai même pas vu que je me suis retrouvée dérrière une murette.
Il commence à baisser mon pantalon, je lui dis d'arrêter mais il me dit de me laisser faire.
Je veux me débattre mais mes membres sont engourdis et je n'arrive même pas à hurler.
Je le sens rentrer et j'essaie de le taper, mon bras retombe aussitôt.
J'ouvre la bouche mais aucun son ne sort...
Il fait son affaire, me dit de le suivre et de faire comme si de rien n'était.
On revient vers la salle, côte à côte, il dit à ses copains de l'aider à se débarasser de moi.
Je m'en vais, honteuse, je m'assieds au pied d'une murette et je pleure.
Deux de ses copains arrivent et me disent qu'il veulent essayer "un paton à trois".
Je rentre dans la salle et je cherche ma copine qui me demande où j'étais. Elle me voit pleurer et nous rentrons.
Je lui raconte ce qu'il s'est passé et elle ne me croit pas.
Nous dormons et le lendemain au réveil, je n'ose ni la regarder, ni me lever.
Elle me juge et ne me soutient pas. C'est la dernière fois que je suis allée chez elle.
Pour la suite, j'ai reçu des appels anonymes de menaces et d'insultes...
Une lettre de la copine qui était avec nous ce soir là qui me dit qu'elle me laisse tomber pk pour faire l'amour,il faut baisser un pantalon et que ce n'était donc pas un viol....
La première fois est sacrée pour toutes les femmes.
Ma première fois, j'ai voulu l'oublier et j'ai voulu en mourir.
Mes premiers bals a 17 ans à cause d'un père autoritaire alors j'en ai profité et bien entendu je suis vite tombée amoureuse.
Je l'ai vu dans un bal, flirt et petits bisous, rien de plus.
Second bal, je ne m'attendais pas à le voir, mon coeur bat la chamade, je n'en peux plus.
La soirée se passe gentilement et il em fait des signes soit disant pour me charmer.
Les bières défilent et je me refuse à en boire mais il me demande si j'en veux une.
Erreur de ma vie, je ne fais pas attention quand il va chercher mon verre.
Je le bois et d'un coup je ne me sens pas bien : sueurs, vertiges, tremblements.
J'ai peur d'aller dehors mais je me sens comprimée dans la salle.
Il le voit et me dit d'aller m'asseir dehors, que ça me ferait du bien.
Il se tient près de moi, sans rien me faire mais d'un coup je trébuche.
Il m'attrape par le bras et m'allonge par terre. Je n'ai même pas vu que je me suis retrouvée dérrière une murette.
Il commence à baisser mon pantalon, je lui dis d'arrêter mais il me dit de me laisser faire.
Je veux me débattre mais mes membres sont engourdis et je n'arrive même pas à hurler.
Je le sens rentrer et j'essaie de le taper, mon bras retombe aussitôt.
J'ouvre la bouche mais aucun son ne sort...
Il fait son affaire, me dit de le suivre et de faire comme si de rien n'était.
On revient vers la salle, côte à côte, il dit à ses copains de l'aider à se débarasser de moi.
Je m'en vais, honteuse, je m'assieds au pied d'une murette et je pleure.
Deux de ses copains arrivent et me disent qu'il veulent essayer "un paton à trois".
Je rentre dans la salle et je cherche ma copine qui me demande où j'étais. Elle me voit pleurer et nous rentrons.
Je lui raconte ce qu'il s'est passé et elle ne me croit pas.
Nous dormons et le lendemain au réveil, je n'ose ni la regarder, ni me lever.
Elle me juge et ne me soutient pas. C'est la dernière fois que je suis allée chez elle.
Pour la suite, j'ai reçu des appels anonymes de menaces et d'insultes...
Une lettre de la copine qui était avec nous ce soir là qui me dit qu'elle me laisse tomber pk pour faire l'amour,il faut baisser un pantalon et que ce n'était donc pas un viol....