Lequel ? N'entre pas dans mon âme avec tes chaussures ? Je l'ai pris à la bib. Il est très recent et bien écrit.
En ce moment j'écoute "Et tu n'es pas revenu"

Le récit d'une grande dame revenue des camps, s'adressant à son père qui n'en est pas revenu, évoque l'inconsolable vie "d'après". Un texte interprété au plus juste par Sandrine Kiberlain

« J'ai vécu puisque tu voulais que je vive. Mais vécu comme je l'ai appris là-bas, en prenant les jours les uns après les autres. Il y en eut de beaux tout de même.
T'écrire m'a fait du bien. En te parlant, je ne me console pas. Je détends juste ce qui m'enserre le coeur. Je voudrais fuir l'histoire du monde, du siècle, revenir à la mienne, celle de Shloïme et sa chère petite fille. » - Marceline Loridan-Ivens

Très beau aussi !

J'ai commencé, et j'aime bien : "N'entre pas dans mon âme avec tes chaussures"

En 1940, Alba est une jeune fille de quatorze ans. Sa famille vit du théâtre ambulant aux alentours de Saint-Jean d'Angely, en Charente maritime. Les contrôles d'identité se resserrent et en avril un décret interdit la circulation des nomades en temps de guerre.

Bientôt, la Kommandantur exige que tous les tsiganes de la région soient rassemblés sous la surveillance de la police française. Avec des centaines d'autres, épuisée par des heures de marche, Alba franchit en novembre le portail du camp d'internement des Alliers, au sud d'Angoulême.

Elle est loin de s'imaginer qu'elle vivra là six longues années, entre l'horreur et la soif de vivre.

En vingt-cinq courts chapitres, conçus comme autant de tableaux dans un temps suspendu, Paola Pigani raconte comment Alba devient femme malgré les ténèbres, comment elle et les siens ont pu aimer, enfanter, travailler au milieu de la folie des hommes.

Tiens, on lit écolo en ce moment !

Tu parles de quel Musso ? Valentin ? Lui, j'aime bien ! Donc, je vais aller voir.
Tu l'as trouvé sur quel site ?

Moi aussi j'ai viré quels audiobooks qui ne m'ont pas plu, et comme bouquin, j'ai "le cul entre deux chaises". J'en ai un peu marre des policiers, les romans ce n'est pas trop mon truc, sauf des livres légers comme "La vie en Rosalie" "Demain est un autre jour, etc.

Et je suis de plus en plus branchée côté audibooks. C'est facile, comme toi Kesako, je m'écoute ça quand je fais du ménage, ça passe bien.

J'ai quand même commencé "Le feu sur la montagne" d'Edward Abbey. Un roman plutôt écolo d'après ce que j'ai lu.

 

Le ranch de John Vogelin est toute sa vie. Sous le ciel infini et le soleil éclatant du Nouveau-Mexique, le vieil homme ne partage sa terre qu'avec les coyotes, les couguars et autres animaux qui peuplent les montagnes et le désert. Jusqu'au jour où l'US Air Force décide d'y installer un champ de tir de missiles. Déterminé à défendre sa terre, le rancher irascible et borné engage alors un bras de fer avec l'armée. Or un vieil homme en colère est comme un lion des montagnes : acculé, il se battra jusqu'à la mort. Dans ce western épique et contestataire, Edward Abbey explore les thèmes qui ont fait de lui une figure incontournable de la contre-culture et confirme qu'il est l'un des meilleurs écrivains de l'Ouest américain.

Ok je vais faire comme vous. Vais aller fouiller aussi. Je viens d'annuler 4 enregistrements. Les voix ne m'allaient pas. Et si je n'accroche pas dès le début ! Pas la peine d'insister.

J'ai raflé tous les Legardinier que j'ai pu trouver. Dernièrement j'ai lu "ça ne peut pas rater" et j'ai aussi beaucoup aimé.

Je commence "Canicule" qui m'a été recommandé par la bibliothécaire.

Kiewarra. Petite communauté rurale du sud-est de l'Australie. Écrasée par le soleil, terrassée par une sécheresse sans précédent. Sa poussière. Son bétail émacié. Ses fermiers désespérés. Désespérés au point de tuer femme et enfant, et de retourner l'arme contre soi-même ? C'est ce qui est arrivé à Luke Hadler, et Aaron Falk, son ami d'enfance, n'a aucune raison d'en douter. S'il n'y avait pas ces quelques mots arrivés par la poste : Luke a menti.
Tu as menti. Sois présent aux funérailles. Revenir à Kiewarra est la dernière chose dont Aaron a envie. Trop vives sont encore les blessures de son départ précipité des années auparavant. Trop dangereux le secret qu'il a gardé pendant tout ce temps. Mais Aaron a une dette, et quelqu'un a décidé que le moment est venu de la payer...

J'aime toujours autant les bouquins de Fred Vargas. J'ai entendu sur l'A.2 qu'un nouveau venait de sortir, j'ai fini par mettre la main dessus "Quand sort le recluse". Je l'ai terminé cette nuit et .... j'en redemande !! C'est vrai qu'au fil du temps, je me suis attachée aux personnages. 

« – Trois morts, c’est exact, dit Danglard. Mais cela regarde les médecins, les épidémiologistes, les zoologues. Nous, en aucun cas. Ce n’est pas de notre compétence.

– Ce qu’il serait bon de vérifier, dit Adamsberg. J’ai donc rendez-vous demain au Muséum d’Histoire naturelle.

– Je ne veux pas y croire, je ne veux pas y croire. Revenez-nous, commissaire. Bon sang mais dans quelles brumes avez-vous perdu la vue ?

– Je vois très bien dans les brumes, dit Adamsberg un peu sèchement, en posant ses deux mains à plat sur la table. Je vais donc être net. Je crois que ces trois hommes ont été assassinés.

– Assassinés, répéta le commandant Danglard. Par l’araignée recluse ? » 

Et dire que je suis passée devant leur tombe quand j'ai visité le cimetière du Père-Lachaise. Dire que je ne l'ai pas trop bien vue, car elle étaient entourée d'une barrière ainsi que celle de Jim Morisson et d'Oscar Wilde.
 

OH Oui, le Montespan, tu peux y aller, c'est vraiment bien.

Héloïse Ouille : Ils font des galipettes pendant un bon moment, Maintenant, j'en suis arrivée au moment où on lui coupe les coucougnettes et on met Héloïse dans un cloître.

Je connais l'histoire, mais j'aime bien la faconde de Teulé.

Par contre, Darling, c'est une histoire vraie mais sidérante. C'est un livre qui ne laisse pas indifférent. J'ai eu un peu la même réaction après avoir lu "Le Parfum" de Süskind.