consulte un médecin au cas où

t'as trouvé le mot exact 

OUI Je suis là,  j'ai vu que tu venais de venir mais je pensais que tu étais repartie.  ça devient rare qu'on se retrouve ''en direct'"'

bon, tout va bien alors 

oui, ouf !!!  ça travaille au ralenti dans ma tête.... mais ça travaille c'est le principal 

j'ai failli te demander l'explication, l'idole déjeune j'avais compris mais le jean ? et puis   mon cerveau s'est activé !  Oui c'est pas mal

  Je l'aimais bien, pour sa famille il est partit, pour moi qui ne l'ai jamais vu qu'à la télé il restera vivant dans les rediffusions de ses films ou de ses spectacles.

idem pour moi. Il n'y a donc pas de sujets plus préoccupants ? c'est vrai que les journalistes doivent se mettre quelque chose sous la dent car pour la rabachage, ils tiennent le pompon, ça en devient scandaleux

Vu sur GOOGLE entre autres !!!

• Le fait d’accorder les fonctions, métiers, grades et titres, en fonction du genre

On parlera ainsi de chroniqueuse, chercheuse, mais aussi d’une autrice ou encore d’une doctoresse. Si de nombreux métiers sont entrés dans le langage, comme actrice ou institutrice, une réflexion de fond doit encore être menée pour s’accorder sur la façon de féminiser bien d’autres professions. En effet, que choisir entre « auteure », « auteuse » et « autrice » ? En réalité, les trois sont des féminins déjà employés – ou qui l’ont été – dans la langue française.

• Utiliser à la fois le féminin et le masculin quand on parle d’un groupe de personnes

Il y a plusieurs façons de le faire : soit par l’utilisation de ce qu’on appelle la double flexion – « les candidates et candidats » –, soit par le recours au « point milieu », aussi appelé « point médian » – « les candidat·e·s » –, soit enfin par une reformulation épicène, c’est-à-dire un nom qui a la même forme aux deux genres – « les personnes candidates » ;

En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2017/11/23/cinq-idees-recues-sur-l-ecriture-inclusive_5219224_4355770.html#wccZzuG0MWRftdup.99

Impossible à adapter à l’oral, illisible, reniant la langue française… Cette écriture suscite de vifs débats, avec leur lot de discours captieux et de contrevérités.

Pour le linguiste Alain Bentolila, une langue ne peut voir sa structure changer qu’au rythme de l’évolution du peuple qui la parle.
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2017/11/23/cinq-idees-recues-sur-l-ecriture-inclusive_5219224_4355770.html#wccZzuG0MWRftdup.99