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Coucou ;) Bonsoir la foule :x
Comment allez-vous ?
jane les voyage forme la genesse lol Yvonne c'est bien de te faire aider , et puis tu as et aide encore aussi !
Neige , et les autres copinettes ça va ?
Ce matin course et ben il y avait un de ces monde et les prix hou la :P prochaine fois on ira à l'ouverture , mais si tout le monde dit ça lol :D

Je vous souhaite une bonne soirée à toutes prenez-soin de vous et des vôtres :x :x :x :x :x :x bises de moua
On est les enfants de parents qui n’ont jamais appris à se guérir.
Pas parce qu’ils s’en foutaient.
Parce qu’eux aussi avaient mal, mais qu’on leur a appris à avaler ça en silence.
On vient de maisons où les émotions n’étaient pas écoutées, juste étouffées.
Où on aimait comme on savait : maladroitement, durement, parfois froidement.
Pas par méchanceté. Par ignorance transmise.
On a grandi en lisant les non-dits.
En décodant les soupirs, les regards lourds, les silences qui criaient plus fort que n’importe quelle vérité.
On a appris à se taire pour ne pas déranger.
À normaliser ce qui faisait mal.
À appeler "force" ce qui était juste de la survie.
Mais la vérité, c’est que ce qu’ils n’ont jamais eu, ils ne pouvaient pas nous l’enseigner. ( exactement ça )
Et aujourd’hui, c’est à nous que ça revient.
De mettre des mots là où il n’y en avait pas.
De ressentir là où on nous demandait de tenir bon.
De pleurer là où on nous disait d’être forts.
Guérir, ce n’est pas trahir ses parents.
C’est refuser de léguer leurs blessures à nos enfants.
On ne les juge pas.
On comprend.
Mais on ne répète pas.
On est la génération qui ose regarder la douleur en face et dire :
« Ça s’arrête ici. »