Coucou bonsoir les copinettes:x 

Neige qu'elle énergie woua. C'est fou tout ce que tu fais bravo vraiment. 

 

Mes résultats 8.7 pffffff la transfusion est à 8.5 c'est comme ça. 

Je suis allée lire un peu au soleil.

 

J'ai trouvé et façonné un chouïa ce texte qui parle à tout le monde.

Là c'est pour Yvonne. 

 

Courage à toutes bonne soirée à vous. 

Je vous embrasse 

 

 

 

Ma gentille amie 

 

Je vois tes larmes couler, car mon heure est venue. Ne pleure pas, je t’en prie, laisse-moi te dire quelques mots.

 

Je sais que mon départ t’a attristé, mais moi, je suis  partie le cœur léger, car j’ai eu la chance de te connaître. Combien d’êtres comme moi s’éteignent chaque jour sans avoir croisé un regard bienveillant ? 

Nous, les animaux, connaissons le froid, la faim, la peur et l’indifférence. Trop souvent, des visages passent sans nous voir, et parfois, c’est mieux ainsi.

 

* Mais un jour, au milieu de la foule, un ange apparaît… et tout change.

Un foyer nous est offert, un nom, une chaleur inconnue. On nous apprend l’amour, et dès cet instant, la peur s’efface. Peu importe la pluie, le bruit des voitures ou les dangers du monde, car nous ne sommes plus seuls.

Alors, même si aujourd'hui je pars  ne sois pas triste. Ne ressens ni regret ni culpabilité, car tu as fait plus que tu ne le penses. Tu m’as offert un nom, des caresses, une maison, et surtout, le bonheur d’être aimé. Nous, les animaux, vivons dans l’instant. Peu importe le passé quand le présent nous comble d’amour.

Avant de partir, je veux te demander deux choses :

 

" Essuie tes larmes et souris. Garde au fond de ton cœur chaque instant de joie que nous avons partagé. Et surtout, ne ferme jamais ton cœur à l’amour. Il y a tant d’âmes comme la mienne qui attendent un être comme toi. Ne laisse pas la peur du chagrin t’empêcher d’aimer ceux qui en ont le plus besoin."

 

Désormais, je serai ton ange. Lorsque tu lèveras les yeux et verras une étoile scintiller, sache que c’est moi qui te murmure : « Je vais bien, merci de m’avoir aimé. »

 

Je ne te dis pas adieu, mais simplement à bientôt. Là-haut, où les âmes pures se retrouvent, je t’attendrai.

Coucou ;) Bonjour les copinettes:x 

Jolies brassières Neige bravo 

Temps mitigé là il a plu et maintenant soleil . ;) 

Nous en avons profité pour faire du ménage et balai vapeur  *-:) 

On le fait quand on est en forme ( à peu près) 

Patrice se repose moi je vous mets un petit  mot  *-:) 

Et vous que faites vous ? 

Bonne journée à toutes  :x  :x  :x  :x  :x  :x bises 

 

 

 

 

 

Les commérages détruisent des maisons, des vies, mènent à la mort, à la prison, et détruit les familles. Faisons attention aux commérages.

Si c'est pas ton problème ne te mets pas dans le problème

On vous a dit des rumeurs ? Faites ce que Socrate ferait : le test à trois filtres.

Dans la Grèce antique, Socrate, connu pour son immense sagesse, a reçu une personne qui, avec beaucoup d'enthousiasme, lui dit :

– Socrate ! Tu sais ce que je viens d'entendre sur ton ami ?

Le philosophe répondit calmement :
- Juste un instant. Avant de me le dire, mettons ce que vous voulez dire à travers trois filtres.

Premier filtre : la vérité.
– Avez-vous vérifié que ce que vous allez me dire est vrai ?
– Non, je viens de l'entendre quelque part.

Deuxième filtre : la gentillesse.
– Est-ce que ce que vous allez me dire sur mon ami est quelque chose de bien ?
- Non, au contraire.

Troisième filtre : utilitaire.
– Est-ce utile pour moi de savoir ?
– Non, pas vraiment.

Socrate a conclu avec sérénité :
– Si ce que vous voulez me dire n'est pas vrai, ni bon, ni utile. Pourquoi dire ça ?

La leçon de Socrate est claire : réfléchissez avant de parler. Améliorons notre façon de communiquer et construisons un environnement plus sage et empathique.  

Bonjour mes amies!

Le café vous attend!

Pas de pluie en ce moment, mais pluie dans la nuit.

Hier, j'ai (enfin! planté mes oignons et salades).

Crocheté 2 roses pour ma Tornade. Aujourd'hui je vais au marché, récupérer des fleurs pour mes jardinières.

Poupétina, c'est assez long les guérisons, mais je vois que tu ne sembles pas trop souffrir, c'est une bonne chose.

Je vous souhaite un bon dimanche et je vous embrasse.

Pierrette

Voilà le café!!

 

 

 

 

 

Coucou ;) Bonsoir les copinettes  :x 

Comme il faut bouger , ce matin je suis allée me faire faire un brushing  ( j'avais vraiment la flegme) et ma copine va être en vacances. 

Un peu de courses dans la foulée heureusement les capuches existent car pluie.

 

L'infirmière en hematologie a tel , elle m'envoie des ordonnances 1 pour 1 truc urines 24h .1 pour 1 Rv pour 1 fond de l'oeil et 1 autre pour un Orl avant de me prescrire un traitement pour faire baisser la ferritine ( qui est haute  à cause des transfusion  :-S je pose pas mal de questions car j'aime savoir   *-:) 

 

Je tel à la secrétaire de l'ophtalmologue qui suis Patrice normalement " elle est partie en Dordogne  O:-) et pas d'autre donc faut rechercher pffffff:-S 

 pour l'Orl pareil il n'y en a plus. La secrétaire de la clinique m'a donné le n°de tel d'un Orl dans 1 clinique à...Poitiers  :-O 

Voilà les news . Patrice lui a Rv ave  la neurologue le 22/04. Pour nouveau traitement...

Courage à toutes 

Bonne soirée à vous toutes  :x  :x  :x  :x  :x  bises de moua 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 Mary  (pas facile de trouver une image adéquate ) 

 

Tous les jours le vieil homme s’asseyait sur le même banc du parc, une tasse de café tiède entre ses mains ridées par le temps. Il venait ici jadis avec sa femme, Mary. *Depuis son départ, l’espace vide à ses côtés n’était plus qu’un écho silencieux de son absence.*

 

Un matin d’automne, 

quelque chose frôla le bout de sa chaussure usée. Baissant les yeux il découvrit un chaton roux et blanc, qui le fixait de ses grands yeux verts.  Son petit corps frêle semblait perdu dans ce monde.

— D’où viens-tu, petit ? 

Le chaton frotta la tête contre sa jambe.

Sans savoir pourquoi,** il le souleva, le  posa sur ses genoux. La petite créature grelottait. Du bout des doigts, il caressa son pelage et à cet instant ressentit quelque chose qu’il croyait disparu depuis longtemps: une douce chaleur.

 

Tous les jours le chaton revint, trouvant toujours le vieil homme à son poste. Puis, une petite gamelle de lait l’attendit à côté du banc.

-Je venais ici avec Mary, tu sais, lui confia-t-il un matin en lui grattant l’arrière des oreilles. Elle adorait l’automne. Elle disait que ça sentait la cannelle.

 

Le chaton cligna lentement des yeux, comme s’il écoutait.

 

Les jours devinrent des semaines, et peu à peu, le silence se remplit de mots. Le vieil homme racontait au chaton Mary, les livres qu’il lui lisait, les éclats de rire qui emplissaient autrefois leur maison. Il lui donna un nom : Pumpkin, en hommage à l’épice préférée de Mary.

 

Un matin, il vint au parc avec un petit panier garni d’une couverture.

— Qu’en dis-tu ? t-il en y déposant doucement le chaton. Tu veux rentrer avec moi ?

Le chaton répondit par un miaula avant de se lover dans le tissu moelleux.

Et pour la première fois depuis longtemps, le vieil homme se leva du banc et rentra chez lui. Mais cette fois, pas seul.

 

En entrant dans sa maison, quelque chose changea en lui, une chaleur douce et familière. Il baissa les yeux vers la boule de poils blottie dans son panier et esquissa un sourire.

— Je crois que Mary t’aurait aimé, souffla-t-il.

Et pour la première fois depuis longtemps, il se sentit chez lui.