J'ai terminé le livre de M Higging Clarks, court mais bien écrit et avec beaucoup de suspens.

Ce sont des policiers pour Josy, pas de sang, simplement du suspens. J'ai aimé

J'ai hésité, les prix qu'elle a reçu ont été décernés par des étudiants, du coup j'ai eu des doutes !

Sandhamn, Viveca Sten ... c'est une série télé (je ne sais pas sur quelle chaîne elle est diffusée), une copine ne loupe aucun épisode. D'elle, j'ai commencé à lire La reine de la Baltique, mais ça décime à tout va, ou on trouve des découvertes macabres ... j'ai laissé tomber.

Je préférais Indridasson ou Camilla Lackberg (les premiers), moins violents ou Jo Nesbo.

 

C'est ce que j'ai constaté hier soir. En audio il y a surtout des thrillers, mais je n'aime pas trop parce qu'ensuite j'ai des cauchermars qui me réveillent la nuit. Du coup je suis un peu limitée en choix.

Canger l'eau des fleurs m'aurait bien plu mais il n'est pas en audiobook. Dommage !

Je lis un livre très bien écrit et très prenant, mais je ne suis qu'à la page 66. C'est un auteur très côté : Yasmina Khadra (c'est un homme) Certains le comparent à Camus. LES ANGES MEURENT DE NOS BLESSURES Il se faisait appeler Turambo, du nom du village misérable où il était né, dans l'Algérie des années 1920. Il avait pour lui sa candeur désarmante et un direct du gauche foudroyant. Il fréquenta le monde des Occidentaux, connut la gloire, l'argent et la fièvre des rings, pourtant aucun trophée ne faisait frémir son âme mieux que le regard d'une femme. De Nora à Louise, d'Aïda à Irène, il cherchait un sens à sa vie. Mais dans un monde où la cupidité et le prestige règnent en maîtres absolus, l'amour se met parfois en grand danger.

C'est de pire en pire, je n'arrive plus à mettre d'images, plus de couleur, plus de taille de police, plus d'interligne, plus rien de rien !

Je lis "léger" et j'ai commencé d'Agnès LEDIG : On regrettera plus tard. C'est gentillet pour l'instant, hormis le jeune femme torturée bien qu'elle soit enceinte .... Mais j'attends la suite, ce n'est pas un thriller, donc ça devrait bien se terminer !!!! 

Cela fait bientôt sept ans qu'Eric et sa petite Anna Nina sillonnent les routes de France. Solitude choisie. Jusqu'à ce soir de juin, où le vent et la pluie les obligent à frapper à la porte de Valentine. Un orage peut-il à lui seul détourner d'un destin que l'on croyait tout tracé ? Avec la vitalité, l'émotion et la générosité qui ont fait l'immense succès de Juste avant le bonheur et Pars avec lui, Agnès Ledig explore les chemins imprévisibles de l'existence et du coeur. Pour nous dire que le désir et la vie sont plus forts que la peur et les blessures du passé.

En moins de quatre ans, Agnès Ledig s'est imposée comme une des romancières françaises les plus aimées du grand public. Ses deux best-sellers, Juste avant le bonheur, prix Maison de la Presse 2013, et Pars avec lui (Albin Michel) sont aujourd'hui traduits en 12 langues.

Je me suis prise de passion pour "Le Maître et Marguerite" de Mikhaïl Boulgakov (prêté par un "apprenti" hongrois) et pourtant quasiment 700 pages !! Ben j'ai regretté quand il a fallu le refermer. Le thème était original .. Le mythe de Faust transposé à Moscou. Mais c’est aussi une histoire d’amour très émouvante. Et se servir de personnages ridicules, loufoques, pour critiquer le système de l’époque, fallait oser, il était tout de même persécuté par la dictature stalinienne !!!  Dire que Bulgakov n’a jamais su que son livre allait avoir autant de succès – un chef d’œuvre !!! - quelques dizaines d’années après sa mort. Il a mis tant d’années à l’écrire … C’est triste.

Voici le thème : 

Dans ce récit fou, l'auteur nous fait souvent festoyer, au menu, esturgeon, caviar, saumon, les plats défilent, succulents ! Nous buvons du vin de l'ancienne Rome, le « Cécube » et le « falerne », nous sirotons du Cognac qui « fait bourdonner les oreilles ». Des choeurs chantent, des voix alto, baryton, graves, aigus scandent ce récit hallucinant. 
La lune a une présence obsédante, elle participe aussi à la beauté des paysages, au décor de mise en scène qu'elle révèle et met en valeur. Pleine, elle devient inquiétante et orchestre le bal de Satan, où rôdent des fantômes coupables. Elle est ce chemin qui mène à Ha-Nozri, symbole du passage des ténèbres à la lumière que Ponce Pilate emprunte.......
Cette oeuvre est un monument par le foisonnement d'images, de symboles, de références d'interrogations qu'elle nous livre et l'effervescence intellectuelle qu'elle fait jaillir en nous.

Hier, j'ai refait mon plein de livres à la bib. J'ai lu Karine Gibel que j'aime bien mais que tu n'aimeras pas Quesako, c'est assez dur et pourtant très beau. Toutes blessent, la dernière tue : Maman disait de moi que j'étais un ange. Un ange tombé du ciel. Ce que maman a oublié de dire, c'est que les anges qui tombent ne se relèvent jamais. Je connais l’enfer dans ses moindres recoins. Je pourrais le dessiner les yeux fermés. Je pourrais en parler pendant des heures. Si seulement j’avais quelqu’un à qui parler… Tama est une esclave. Elle n’a quasiment connu que la servitude. Prisonnière de bourreaux qui ignorent la pitié, elle sait pourtant rêver, aimer, espérer. Une rencontre va peut-être changer son destin… Frapper, toujours plus fort. Les détruire, les uns après les autres. Les tuer tous, jusqu’au dernier. Gabriel est un homme qui vit à l’écart du monde, avec pour seule compagnie ses démons et ses profondes meurtrissures. Un homme dangereux. Un matin, il découvre une inconnue qui a trouvé refuge chez lui. Une jeune femme blessée et amnésique. Qui est-elle ? D’où vient-elle ? Rappelle-toi qui tu es. Rappelle-toi, vite ! Parce que bientôt, tu seras morte.