"Dans le cas de la dépression atypique", souligne Judith Wurtman, du Massachusets Institute of Technology, aux Etats-Unis, "on constate souvent une consommation très importante de glucides. Si les gens consomment des glucides c'est parce qu'ils ont un effet tranquillisant, similaire à celui des antidépresseurs."A la vérité", renchérit Jean-Paul Curtay, nutrithérapeute, "le manque de sérotonine est très répandu dans la population. Regardez le succès du Prozac, qui est précisément un sérotoninergique."
A l’inverse, pour retrouver l’excitation qui peut faire défaut, c’est de protéines qu’il faut se nourrir. Viandes rouges, poissons, œufs, voilà des aliments minceur plus énergiques. Cette différence de réaction de votre corps après avoir mangé des glucides ou des protéines est bien résumé par Judith Wurtman, du Massachusets Institute of Technology.